
Deux degrés.
Je prends l’air du temps.
C’est supportable dès lors qu’il n’y a pas de vent.

En plus je prends tout de suite le parti de faire de la bosse pour ne pas avoir froid.
Je suis presque trop habillé avec quatre couches, quatre épaisseurs de vêtements.
Trop serré au cou, je desserre le scratch.

Faut faire gaffe…avec le déluge des derniers jours les chemins sont détrempés et les tapis de feuilles recèlent des pièges.
Une fois à Roderen, je grimpe à Rotebrunnen au sud de Rammersmatt.

Puis je me laisse descendre à Aspach le Haut.


Au stade je fais le parcours circulaire des Chênes et des deux étangs de Dornshag.

Puis je rentre.
