![P1090004.jpg](https://velomaxou.com/wp-content/uploads/2018/01/p1090004.jpg?w=840)
A Burnhaupt, je prends Diefmatten, Sternenberg, Bellemagny.
![P1090002.jpg](https://velomaxou.com/wp-content/uploads/2018/01/p1090002.jpg?w=840)
Puis Eteimbes, Lachapelle, Petitefontaine.
![P1090006.jpg](https://velomaxou.com/wp-content/uploads/2018/01/p1090006.jpg?w=840)
![P1090009.jpg](https://velomaxou.com/wp-content/uploads/2018/01/p1090009.jpg?w=840)
A Morzwiller, Sentheim puis Bourbach et Rammersmatt.
![P1090011.jpg](https://velomaxou.com/wp-content/uploads/2018/01/p1090011.jpg?w=840)
A Leimbach, je suis un peu court pour faire 50.
Je fais un détour par le Rangen et pile 50 km à la maison.
C’est d’une futilité digne d’un crétin.
J’en connais qui tournent dans la quartier quand d’autres font tourner la roue à vide devant chez eux!
Le vélo génère la marotte du compte tond.
Je souffre en silence sur ma bécane.
Je croise des « grands maigres » qui arrachent le goudron sur la plaque, ça me désespère.
Y’en a un qui à Petitefontaine m’a dit salut pendant que je lisais le panneau de la Renouée du Japon.
Quoi de plus normal!
Aussitôt, je saute sur le biclou et je lui file le train…à distance.
Tous les kilomètres, il regarde derrière.
La Seigneurie, Lauw, Morzwiller…
A Morzwiller, j’ai ma dose! je décroche.
C’est la routine d’un abruti de cycliste.
Est-ce que ça fait du bien, au moins?
Pendant non, après oui, je somnole devant l’ordi.
![rox8](https://velomaxou.com/wp-content/uploads/2018/01/rox8.jpg?w=840)
Ceux qui veulent se mettre au vélo ne devrait pas me lire.
Je ne cherche nullement la performance, juste l’entretien de la forme mes formes généreuses.