
C’est un parcours d’hiver sympa.
On a cette chance que notre terroir regorge de chemins.
J’ai tracé le parcours avant de partir car j’ai l’art de me perdre en chemin.

Je commence par le sentier Thur sauvage.
Je traverse Cernay.
Je prends le chemin de Wattwiller.

A l’ex-colonie Les Chataîgniers de Wattwiller, j’entame le retour.


Je passe à l’ouest de Uffholtz. C’est compliqué car le terrain a été très accidenté en 14-18.
Au km 11.400, je suis dans un goulet qui pouvait ressembler à un chemin de schlitteurs, j’en sors plus bas et je me retrouve au point de départ après avoir tourné en rond. C’est comique.


Après la traversée de la route du Vieil Armand, c’est plus facile.
Je laisse la chapelle St Morand sur ma gauche et je sors à Steinbach en direction du Silberthal (vallée de l’argent).

Je contourne l’Hirnlestein.



A Vieux-Thann, je prends le chemin qui surplombe le village et je rentre par les hauts du Rangen.


balade à pied de mon ami Pierre Brunner

À envier !!
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Viens quand tu veux, je t’emmènerai
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« nur der sich selbst ausgibt – hat verloren ! » –> « seul celui qui se dépense – a perdu ! »
Mes connaissances en teuton étant plus que sommaires, merci à Google Traduction !
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Étonnant sur un mur!
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Je ne sais pas de quel mur on parle et cette phrase peut être interprétée de différentes manières, je ne suis pas sûr d’en comprendre le sens …
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Peut être un contemplatif, un adepte du rien faire, un joueur éconduit de la Française desJeux, que sais-je !
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Ce sont les étiquettes en plastiques fixées par les agents ONF sur la base des troncs lorsqu’un arbre est abattu. Une couleur par essence d’arbre. Le numéro unique tel un numéro de série permet d’identifier l’arbre lors des ventes aux enchères de bois.
Pour la traduction: » Seul celui qui abandonne, a perdu » message de propagande de la 1ère grande guerre sans doute.
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Bravo pour ces explications!
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“Celui qui combat peut perdre, mais celui qui ne combat pas a déjà perdu.” ça ressemble un peu à cette citation de Bertold Brecht
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Reste à savoir pourquoi quelqu’un conserve volontairement un tel message de propagande sur son mur…
Quant aux étiquettes, j’avais déjà remarqué ça sur les grumes en me promenant et j’ai cherché ce que signifiait la mention CWS (puisque ONF, on connaît) mais sans succès. J’espère que ça ne signifie pas un truc européen en anglois du genre Community Wood Service !! J’ai en tout cas découvert que les fameuses étiquettes de marquage des grumes ainsi que le marteau à frapper étaient commercialisés par la société vosgienne Le Besson. (le-besson.com)
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