C’est presque festif de grimper le Molkenrain. Il n’y a qu’à pédaler à l’ombre de la forêt.
Puis quand la prairie surgit, il reste un dernier set pour son arrivée victorieuse sous les hourras des spectateurs attablés.
C’est un délire.
Personne ne m’attendait, ni ne m’a remarqué. Je suis donc redescendu dans l’anonymat le plus total. Et j’ai dépassé le marcheur qui m’avait dit en montant « c’est plus facile dans l’autre sens ».
L’humour des marcheurs vis à vis des cyclistes est décapant.


Aucune gloire dans ce parcours. J’habite au pied de la montagne. Je monte, puis je redescends.
Ma paresse est à moitié récompensée puisque j’ai gravi 850m sur 42 petits kilomètres.
Un peu de technique…

« j’ai perdu 8 à 10 kg et j’ai gagné 10 pulsations au cardio. Pas de quoi pavoiser. »
Mais si, mais si !
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Hello Maxou
Super ton circuit, il serait aussi le mien si j’habitais au même endroit que toi.
Et oui, tu peux « te la jouer » d’avoir perdu du poids et des pulses, faut saluer l’effort.
J’ai une devise: »Être et durer »
Tu es bien parti pour la suivre
Bonne soirée
Stéphane Toupenet
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