
Je commence par le plus dur, grimper au Hundsrück. Je redoute toujours ce coté là car c’est une épreuve physique millimétrée où chaque pourcent de pente, chaque pulsation compte dans le bilan final, à savoir parvenir en haut. Et après? après vogue la galère! on se laisse filer dans le vent.
Je rentre à point nommé: la pluie est revenue.


