Alfeld, le barrage

Il est un peu bas, l’Alfeld (1888).

Temps magnifique alors je m’offre l’Alfeld en aller-retour.

La piste de la Doller est autrement plus confortable que celle de la Thur.

C’est tout pour aujourd’hui.

Elle tient dans la main

Idéal pour loger dans la poche…et pour l’oublier avant de partir!

Douarnenez

Aquarelle 40×30

Nucléaire, y voir clair

Fessenheim pas morte?

Les questions énergétiques reviennent d’actualité avec la pré-campagne présidentielle.

Le nucléaire est à nouveau en pôle position parmi les solutions possibles pour nous épargner les écrans noirs sur nos ordis.

Dit comme ça, c’est puéril, j’en conviens.

Pourtant il faut se rendre à l’évidence, nos sociétés libérales n’ont pas d’autres choix que de revenir au nucléaire pour passer « l’hiver énergétique » qui s’annonce avec la fin du tout pétrole et des combustibles fossiles.

Je ne vais pas finasser comme tentent de le faire les écolos en nous recommandant de porter des pulls à la maison les jours de grands froids. Non, chacun sait bien que le fameux mix énergétique sera constitué d’ici les trente prochaines années d’énergies renouvelables sous forme d’éolien et de solaire et pour la base de nucléaire.

Dans les champs éoliens, certaines tournent, d’autres pas…

Tout le reste n’est que foutaise, ne nous embarrassons pas à tergiverser. D’autant que le virage de la bagnole électrique nous attend au tournant!

J’ai toujours été partisan d’une économie administrée pour les industries vitales à la nation. L’Europe quant à elle veut faire la peau à tous nos monopoles au nom du sacro-saint libéralisme concurrentiel. C’était tout le contraire qu’il fallait faire en terme énergétique: construire une Europe de l’énergie.

les six scénarii possibles selon RTE d’ici 2050
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