
Vous ne me croirez pas, c’est avec cet engin que je me suis remis au vélo après mon adolescence et l’inévitable séquence à Mobylette des 15/18 ans.
Je l’ai gardé en souvenir car il illustre assez bien ce qu’était le vélo de course dans les années 70.
Je ne suis pas persuadé que la selle est authentique. Mais le reste est dans son jus avec ses pneus Michelin.
Cependant j’ai un doute aussi sur les roues car je me souviens avoir eu des boyaux et un set de réparation avec fil, aiguille et dé à coudre en plastique…
Bien sûr c’était de l’entrée de gamme et mon ami Jean M. avec qui je roulais considérait que c’était « un tas de ferraille ».
Le développement vous consacrait coureur au premier coup d’œil. Pour ma part, au premier raidillon, j’étais assuré de terminer la grimpée au fossé en vomissant le petit-déj.