
Je retourne dans le Gard au-delà de Sommières. Je quitte Vic-le-Fesq à 9heures sur mon VTT. Il fait froid avec 4 degrés. Je grelotte un peu.


Un parcours à découvrir sur Openrunner https://www.openrunner.com/route-details/16220151

Le parcours fait 41km et 600 mètres. En théorie. Car le premier collinet me donne du fil à retordre. Je galère pendant une heure pour trouver un chemin non fermé. Le col de la Carrierasse est en effet compliqué a atteindre. J’y accède enfin par Cabanes à l’opposé en retournant sur mes pas. Un heure de perdue et 8km de rab.




Midi sonne à Carnas quand je descends le col . J’ai 20 km au compteur au lieu de 14. Je file au col suivant. Encore un col dénommé de la Carrierasse. C’est un chemin de roches. Je mange au pied. Au col, je descends de l’autre coté de la vallée jusqu’au Mas De Soulage.



Vient une grande traversée goudronnée sur 10 km. J’atteins le col de Cague Renard. C’est l’heure de rentrer par une route à grande circulation.

Au total j’ai 50 km et 800 m avec mes quatre petits cols. J’ai mis six heures.

Je n’ai pas la possibilité de télécharger ma trace enregistrée sur Garmin. Je mettrai à jour cet article ultérieurement.
« Ce genre de chose tout le long des sentiers »
Je n’ai rien contre la chasse ni les chasseurs mais je trouve insupportable que certains ne daignent même pas se baisser pour ramasser les douilles ! Moi, ça me ferait mal de laisser de tels déchets sur place. Et quel mauvais exemple donné notamment aux enfants !
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Sans parler des plombs
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Je crois savoir que les projectiles ne sont justement plus en plomb depuis quelques années, c’était trop polluant.
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C’est ce que je suis en train de regarder. Il semble que seules les zones humides sont concernées par le sans plomb
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Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? A chaque zone son métal !
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Désolant, ils ne réutilisent même plus les douilles ! Pourtant la douille me semble-t-il reste dans la culasse (aujourd’hui il y a peut-être éjection automatique mais je n’y connais rien) et il suffit de la sortir et la mettre en poche pour ensuite l’apporter en déchèterie. Dans le temps, on récupérait ses douilles pour refaire une cartouche chez soi (ôter l’amorce usagée en remettre une neuve, de la poudre, une bourre, les « plombs » (c’était du plomb à l’époque !), un bout de carton, ressertissage) : c’était captivant pour moi enfant de voir faire l’oncle et le grand-père; ils refabriquaient même les bourres avec un emporte-pièce.
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