Circuit VTT breton

acrylique sur toile 38×30

J’ai pris un circuit VTT du coté de Dol et j’ai suivi les traces d’Octave Sorre.

à lire ici

Île Grande, Côte d’Armor

acrylique 50×50

J’ai fait le tour de l’île, puis je suis parti. Non loin de Lannion.

Lampaul-Plouarzel

acrylique 28×38 sur carton

Je revisite mes lieux de vacances.

Par beau temps, on voit Molène et Ouessant.

Arzon

aquarelle 40×30

Je ne suis pas sûr du lieu. Mais il y a la mer et un vélo. Des vélos, je n’en peins pas souvent car c’est difficile. Et en plus il est difficile à mettre en scène dans le paysage sans ressembler trop à de la propagande commerciale.

Le vélo doit être poétique et ne rien gâcher.

Bon, j’arrête là car j’en parle mieux que je ne peins. En plus je ne suis pas dans de bonnes dispositions pour peindre, je fatigue vite et j’ai du arbitrer entre deux sujets d’avant plan: le vélo et la barque retournée qui sont des horreurs à traiter.

Avantage à mes blancs qui place l’œil en premier sur ma roue arrière.

Mer du lundi

Acrylique 25×25 sur carton de pizza

Comment redémarrer la semaine?

Pour un retraité naturellement marginalisé de la vie active d’antan, il faut s’inventer des rythmes. On a la marche, le vélo, la cuisine, la lecture, la musique…et aussi la peinture. Ce matin, j’ai saisi l’occasion au dos d’un carton de pizza et j’ai peint cette côte rocheuse, histoire de tenter l’écume. Elle est un peu trop pâteuse, mon écume. Il fallait que je tartine pour masquer les inscriptions du carton à pizza. Je ne laisse rien perdre, soucieux de préserver la planète.

J’ai ensuite filé chez mon ophtalmo. L’ophtalomologie hospitalière est un poème. Un chef d’œuvre de bureaucratie. Je n’en dirai pas plus. En ces temps de pandémie, mieux vaut se taire.

Reprenant mon vélo, je suis passé devant la file d’attente du labo. Des candidats au test PCR.

Retour de Bretagne

La Bretagne que j’aime

J’ai rapporté Le Phare de Queffelec, Henri le père, comme pour prolonger mon séjour breton.

Au bord de la route, j’ai maladroitement croqué le phare de Trézien, juste pour m’en souvenir

La mythologie bretonne n’a plus grand chose à voir avec le tourisme de masse qui envahit les plages. Oui, si dans les supermarchés, on trouve du kouign-amann au beurre frais, du cidre bouché de Paimpol et aussi de la Robiquette, le touriste ne s’aventure guère au-delà de la gastronomie dans les profondeurs de l’histoire bretonne.

chapelle de Langroaz
A Saint-Martin de Bréhal, canards en plastique et stand de tir aux oiseaux

Le vélo breton n’est pas plus facile qu’ailleurs. Dès que vous empruntez la route littorale, vous devenez un grimpeur de montagne russe traversant tous les précipices des estuaires en prenant de l’élan pour remonter en face.

Mais à la différence de l’Alsace, les revêtements routiers sont bons.

A Saint-Quay, je me suis arrêté devant le port de plaisance. Songeur.

La Bretagne fait des efforts. Mais c’est un pays de bagnoles et de camions comme ailleurs. Du ruban, du ruban asphalté qui sillonne le territoire et des quatre-voies à gogo de Saint-Malo à Vannes.

Les routes secondaires sont étroites, souvent dépourvues de bas-cotés. Si votre guidon tremble, vous êtes bon pour le fossé herbeux qui cache la rocaille.

J’ai saisi le bon moment devant la « calmitude »

Route étroite, point de bande centrale! Chacun doit se débrouiller pour le croisement. Les voies centrales partagées sont donc légion et elles permettent de donner un statut au cycliste avec sa voie peinte.

Ne pas s’aventurer sur le sentier douanier avec son VTT, c’est interdit. La renaturation permanente des berges ne réserve qu’une étroite bande aux marcheurs. Pour trouver un espace VTT, il faut se référer aux communes qui disposent de terrains ad-hoc fléchés et balisés, sinon vous êtes bon pour les voies sans issues qui mènent aux champs d’artichauts. Je les ai expérimentées.

Voila ce qui se vend à Perroz-Guirec mais je n’en ai pas vu en ville

Méfiance avec les plages idylliques! à marée basse, le VTT s’il n’est pas fat-bike risque de s’enfoncer dans un sable mouvant ravageur pour les transmissions.

A Brignogan, on est tolérant avec le vélo le long du rivage, on peut circuler sans trop s’enfoncer dans les zones sablonneuses

Les stations balnéaires exultent en septembre: les sexagénaires (et plus) prennent possession des lieux.

Ils redécouvrent les joies du vélo, les sexagénaires endurcis. Le vélo électrique fait fureur là-bas. Il n’y a plus que lui. Le Croisic qui s’est longtemps battu pour empêcher l’invasion des camping-cars doit à présent faire face à des hordes de cyclistes qui prennent la grand-rue à contresens, slalomant entre voitures et piétons. La presqu’île n’a pas encore imaginé le double sens cyclable.

A Brest, la zone d’Océanopolis est favorable au vélo. Ici le Quenn Mary II en radoub et le chantier de préparation des éoliennes off-shore qui font débat.

J’ai parcouru les marais salants de Guérande sur d’improbables itinéraires en quittant La Turballe, puis je me suis perdu dans Batz-sur-Mer.

Au retour, les paludiers servaient les derniers clients avant fermeture. Un euro le kilo!

Brest a ses adeptes du vélo même si la ville n’est pas plate. Brest est bien investie dans la promotion du vélo grâce à sa jeunesse étudiante. La signalétique y est de qualité et les espaces cyclables bien délimités. Les vélos de location y sont nombreux.

A Plouarzel, chacun sa voie. Le vélo à gauche! Comme c’est bizarre
Vertige
Le Conquet, passerelle sur l’estuaire
ce qui est en vente à Douarnenez
Du coté de Plogoff, des sentiers balisés pour VTT (pas toujours faciles!)
embarcadère pour l’ïle de Sein à Loctudy, les touristes se pressent
arbres remarquables presqu’ïle du Croisic

Mes six tours de vélo bretons…

J’ai pris le VTT sans trop savoir à quoi m’attendre. La machine étant polyvalente, finalement j’ai surtout pédalé sur des routes goudronnées.

Saint-Jacut-dela-Mer

Saint-Quay-Portrieux

Kerlouan

Plouarzel

Audierne

La Turballe

Le Conquet

Acrylique sur carton 40×30

Saint-Benoît des Ondes

Si vous me connaissez, vous savez que je bombarde à tout-va avec mon appareil photo sans descendre de mon vélo. Alors une fois rentré à la maison, je revisite mon parcours.

En Bretagne j’ai longé la côte, roulé le long de la plage à marée basse.

Les villages apparaissent sous un autre angle de vue que du coté rue. Et parfois je m’arrête, pour mieux cadrer.

Peindre, c’est essayer un second coup de cœur. Souvent maladroit, à la réussite incertaine.

Mais je passe le temps comme je peux, effrayé par les nouvelles peu rassurantes…et les rancœurs qui montent, de toutes parts.

Trévezel-Trédudon à VTT

Je quitte Plounéour-Ménez par un joli sentier

Pluie bretonne abondante ce matin. Je pars de Plounéour-Ménez. Au pied des monts d’Arrée, je grimpe par un chemin ruisselant jusqu’au col de Trévezel. J’évolue un peu au jugé et la grande antenne hertzienne qui apparaît dans la brume me conforte dans ma direction.

Monument du Cheval Inconnu au col de Trévezel

Étonnant ce monument au Cheval Inconnu !

J’arrive au col de Trévezel

Puis je me trompe. Je crois trouver un chemin au pied de l’antenne, je ne le trouve pas. Je descends par la route pour remonter ensuite au col de Trédudon. Dommage car de la route à VTT c’est moins grisant. À la descente, je prends un sentier qui est provisoirement transformé en ruisseau.

Mon ruisseau du retour

Me voici à Plounéour-Ménez avec son bel Enclos Paroissial autour de l’église.

Eglise de Plounéour-Ménez (ménez signifie montagne en breton)

Un micro-tour de 10km et 250m. L’essentiel c’est de participer, n’est-ce pas?

Un parcours à découvrir sur Openrunner https://www.openrunner.com/r/12187057

Par temps de pluie

Par temps de pluie, je reprends ma pointe de Pen -Hir…
…puis je passe à cet extravagant empilement de roches de la pointe de Pontusval

Pen-Hir

C’est pas beau, mais je publie quand même. Je n’ai rien fait depuis plusieurs mois et ce genre de texture bretonne est délicate. La côte rocheuse, le grès armoricain du coté de Camaret, est recouverte de végétaux aux coloris changeant et faire de l’écume à l’aquarelle n’est pas facile non plus. Vous avez les données du problème.

La Bretagne en accusation

Blog de velomaxou :Vélomaxou, le blog d'un cyclo mulhousien, La Bretagne en accusation

La Région Bretagne se sent injustement salie par l’affiche de
France Nature Environnement.

(image ci-dessus)

C’est pourquoi elle poursuit l’association devant les
tribunaux.

En cause les plages bretonnes polluées par les algues
vertes.

Des algues vertes toxiques générées par les nitrates en excès
dans les sols et les cours d’eau voisins des élevages intensifs de
porcs.

En Alsace, la pollution des nappes phréatiques existe aussi.

Mais on ne la voit pas.

En revanche, on voit très bien la pollution sauvage le long de
nos routes.

Maxou en rend compte chaque fois que possible dans ses
chroniques.

Comme pour ce dépôt sauvage ici face à l’Ecomusée sur l’Aire de la Thur.

Aujourd’hui, c’est la journée « Haut-Rhin Propre », une journée où
les amoureux de la nature sont appelés « à désapprouver
l’incivilité de certains
« , c’est à dire à aller ramasser les
ordures laissées par les autres.

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Quatelbach-vélomaxou

Voyage dans le Pays du Lomont

Blog de velomaxou :Vélomaxou, le blog d'un cyclo mulhousien, Voyage dans le Pays du Lomont

Le Pays du
Lomont
s’étend le long du Doubs et regroupe les
villages du plateau calcaire de Blamont, première
chaîne du Jura.

Il comprend trois
cantons : Hérimoncourt, Pont de Roide et Saint
Hippolyte.

Le Pays conserve son patois avec quelques
exemples en italique dans ce texte soumis à la
sagacité des lecteurs.

Au départ de
Dannemarie, temps incertain et seulement 16°C en ce 9
août.

Il fallait donc être
bien bouché afin d’éviter
d’attraper une nique.

Notre randonnée
nous conduira à Delle, avec une incursion en territoire
suisse depuis Bure jusqu’aux grottes de
Réclères
, situées dans le Pays de l’Ajoie,
puis retour sur les gorges du Doubs à Vaufrey et Saint
Hippolyte.

L’après-midi
plus ensoleillée sera consacrée à rejoindre
Valoreille, Chatillon, Liebvillers, Montecheroux, Blamont, Glay,
Beaucourt, Brebotte et retour par VR6.

135km à l’arrivée et 2000
mètres de dénivelée.

Qu’on ne s’y
trompe pas, le Doubs n’est pas de tout repos ; on sera
parfois rétrimoulés à la vue de la
pente et souvent mouillés de chaud sur le chemin du
retour.

Récit en
images.

Nous voici sur la route de
Suarce…


Une petite halte au
marché aux primeurs de Delle…


Le paysage aux abords de
Villars le Sec…


En Suisse en direction de
Grandfontaine…


Jean-Luc, instigateur
méticuleux de cette journée…


Grandfontaine…


 

La montée de
Réclère. Les grottes de Réclère recèlent
des stalactites et des stalagmites agrémentées
d’un parc d’attractions voisin susceptibles d’un
but de balade…


La descente vertigineuse
sur Vaufrey nous offre un point de vue magnifique sur les gorges du
Doubs et ses falaises de calcaire…


La reculée…

La fontaine aux lions de
Vaufrey…


Saint
Hippolyte
, canton du Doubs est un bourg agréable et
touristique où nos poserons nos montures, histoire de se
jeter un gongon de vin jaune au goût de pierre et de
faire passer notre diaffe


L’hôtel de
ville…


Saint-Hippolyte,
bucolique…


Nous quittons
Saint-Hippolyte pour rejoindre la chaîne du
Lomont…


Nous voici à
présent sur les hauteurs de Valoreille et cette digne
représentante des vaches
montbéliardes…


Bief et sa chapelle
construite en 1669 par les habitants épargnés par la
peste…


Arrivée à
Liebvillers…


Montée à
Montecheroux…


Monument à la
mémoire des combattants du Pays de
Montbéliard…


Glay…


Vandoncourt…


Froidefontaine
VR6…


 

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