Grand soleil à 13 heures.
Ne pas s’attarder, sauter sur le vélo.
Car le temps change parfois vite.
Effectivement, on repasse dans le gris une fois arrivé à Ottmarsheim.
Niffer et le retour.
Au stade de l’Ile Napoléon, un match de foot.
Un match ordinaire semble t-il.
Quelle chance! j’arrive pour voir un but.
Coup de sifflet de l’arbitre qui valide le but de loin.
Quelques grognements chez les perdants « hors jeu! »… « hors jeu! »…
Il est vrai que le juge de touche était loin d’avoir suivi l’action…
Enfin, l’arbitre un peu handicapé par une légère surcharge pondérale arrive sur les lieux du drame, c’est à dire la surface de réparation…
Soudain, il jette son sifflet à terre et quitte le terrain.
– Fahrid, reviens!…Reviens Fahrid!
Fahrid nettoie déjà ses pompes au vestiaire.
Fahrid n’est plus dans le match.
L’arbitre s’est mis hors jeu lui-même.
Cette affaire là embarrasse bien les équipes qui restent plantées là sans personne pour siffler la remise en jeu.
Je m’apprête à reprendre la route quand passe un équipage insolite…Un vélo tracté par deux chiens.
Voila ce qu’il me faut!
Nous vivons une époque formidable.

Bravo, les chienchiens !
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