On a choisi le parcours forestier, celui où la canopée nous protège.
Ne pas s’exposer aux rayons dardants, c’était le but.
Je souffre en silence de cette casquette et de cette platière mastique.
De quoi contenter d’aise lomoberet.
La chance d’une forêt proche à parcourir en long et en large ne se refuse pas sur un VTT dès lors qu’il accepte tous les chemins tortueux en évitant les routes traversières.
Pourtant, l’eau baissait quand même dans nos bidons, plus vite que prévu.
Après treize heures, il fallut traverser les contours de la ville, le goudron fondait, et nous aussi!
Vite, réfugions-nous sous la douche!