Quand je rentre, je verbalise. C’est une forme de thérapie. D’autres font des étirements, boivent une bière, moi je récite mon histoire.
Je vois un coin de ciel bleu sur la Doller. Va pour la Doller. Je saute dans la vallée voisine du Soultzbach et je pousse jusqu’à la Seigneurie. Après je ne sais plus. Il faut que je regarde l’enregistrement.

Bréchaumont, Traubach, Diefmatten,…
A Aspach, le ciel bleu a disparu. Un crachin désagréable s’installe. Je pousse les feux.
