
Toutes les fois que je vais pisser, je contemple au-dessus de ma table de nuit ta truculente portraiture et je te dis un petit bonjour (Flaub., Corresp., 1860, p.387).
J’imagine Flaubert pissant dans son vase de nuit à la lumière de la bougie…face à son miroir.
Je n’ai jamais tenté le portrait. Sauf celui-ci.
D’abord parce que c’est difficile et ensuite parce qu’avec moi ça devient vite caricatural voire même une imposture, une tromperie de soi-même.
N’ayons pas peur des maux qui nous plongent vers l’abime!