
Je suis peut-être comme vous, je ne sais plus quels ont été les faits marquants de 2018.
Je pars à l’aveuglette consulter mon année 2018.
Et comme vous le voyez, j’expérimente un nouvel outil de mise en page fortement recommandé par WordPress, mon éditeur en ligne.
Il suffit de dérouler l’année, jour après jour et de s’arrêter là où bon nous semble.
Commençons ensemble.
Début janvier 2018, catastrophe! la tempête Eléanor s’abat sur la France.

accéder à l’article… Et l’Alsace voit ses cours d’eau déborder…
Février 2018: Heureux les maigres! C’est ce que se disent tous les grassouillets, ceux qui vont plus vite que vous dans les descentes. On peut toujours essayer de gagner quelques grammes superflus sur nos vélos en y mettant des matériaux allégés, la margarine du cycliste restera prédominante. Surtout dans les côtes.
Mars 2018 a été propice a de belles images de neige grâce au VTT

…des images qu’on peut voir ici
Avril 2018, exil à Argelès-sur-Mer, la mer, la montagne et du VTT (voir les images)
Mai 2018, un raid routier à Valjoly. Ma deuxième expérience avec sacoches. Je n’ai pas été déçu. voir les images

Juin 2018, fête du vélo à Mulhouse, au rendez-vous de la ferveur cycliste (voir les images)

Juillet 2018: Thann-Molkenrain à VTT, une valeur sûre

Août 2018, canicule en Alsace. On se protège comme on peut en préférant la forêt

Septembre 2018: la montagne, ça vous gagne! ce sera mon premier raid de trois jours à VTT autour du col de Tende avec bagages en compagnie de mes amis des Cent Cols. Une découverte!

Octobre 2018: octobre est toujours propice à de belles images d’automne dans nos Vosges adorées

Novembre 2018: voila ce que j’écrivais le 17 novembre, acte 1 du mouvement des Gilets jaunes…
Je n’ai pas de complaisance particulière à l’égard du mouvement gilets jaunes. Ce sont des gens comme vous et moi qui manifestent. Ils illustrent notre temps. Mais j’observe qu’ils n’ont dans leur démarche qu’une vision consumériste de la société dans laquelle ils vivent. Quand tout tourne autour de la bagnole, fatalement on en dépend fortement. Pour aller au travail, pour aller faire ses courses, pour mener les enfants à l’école, à la danse, aux sports…et pour aller en vacances s’il reste de l’argent. Ce qui est regrettable c’est de voir que l’affadissement du monde politique a définitivement tué notre conscience politique des choses. La seule solution est donc de refonder, de rebâtir notre contrat social autour d’un autre modèle. Aujourd’hui je ne retirerais rien à ce texte.
Décembre 2018, lumières dans la ville
