C’est la somme que va devoir débourser Bruxelles pour accueillir le Tour de France.
En 2019.
Quand on aime, on ne compte pas.
Une fois.
C’est la somme que va devoir débourser Bruxelles pour accueillir le Tour de France.
En 2019.
Quand on aime, on ne compte pas.
Une fois.
https://youtube.com/watch?v=vq8RcfsAphI%3Fversion%3D3%26f%3Dvideos%26app%3Dyoutube_gdata
De Bruxelles à Bâle en juin 2010.
De belles images des trois compères.
Pour ceux qui aiment les balades à vélo.
Nos politiques aiment les avions.
Après Alliot-Marie qui voyage dans un avion privé tunisien pour
ses vacances, Sarko va à Bruxelles avec pas moins de deux avions
longs courriers.
Selon le site du quotidien belge Le Soir, ces deux avions, aux
couleurs nationales étaient parqués vendredi matin près du terminal
d’aviation générale de l’aéroport de Zaventem, a constaté l’agence
BELGA.
Bruxelles étant distant de 300 km de Paris, on se demande bien
pourquoi engager de telles dépenses dans le contexte économique
actuel.
Et après, on viendra nous donner des leçons de « démocratie irréprochable »!
C’est à Bruxelles qu’on apprend aux gens des quartiers
défavorisés à apprendre à rouler à vélo.
A Mulhouse aussi, des apprentissages ont lieu sous l’égide du
CADR.
Si la France a abandonné « la journée sans voitures »
pour la « semaine de la mobilité« , la Belgique continue à
jouer le jeu.
Un dimanche, pour ne pas trop pénaliser ceux qui ne savent pas
faire autrement.
Et apparemment, ça a marché si l’on juge par cette image de
Bruxelles livré aux deux roues.
C’est hier que s’est tenu le 30eme Gordel en Belgique.
A coups de vélos flamands, les Belges s’entre-déchirent en
faisant la danse du scalp autour de la capitale bruxelloise.
« Depuis ce matin j’ai déjà réparé
38 crevaisons » (Le Soir.be)

Belga
C’est un spectacle navrant de voir un peuple mourir pour sa
détestation de l’autre.
Mais les Français, eux aussi, ont leurs nerfs à vif.
L’étincelle fatale à un grand chambardement n’est pas loin de se
produire.
Mais la partition sera plus facile à jouer!

vélomaxou
Transports en
panne
On pourrait se contenter de dire que nos transports en commun
sont en complet décalage avec les enjeux environnementaux de notre
société: pannes à répétition, retards en tous genres, conflits
sociaux entre Directions et salariés mais aussi entre voyageurs et
employés,…sans compter les acteurs inattendus d’une fraction de
la population délinquante qui attaque bus et trains ainsi que, et
c’est plus grave, les contrôleurs de trains et les chauffeurs de
bus.
vélomaxou
Appelons les
pompiers!
Un ensemble de soubresauts et de déconvenues dans nos transports
en commun qui font qu’au total beaucoup en reviennent au postulat
qu’on n’est jamais si bien servi que par soi-même et
reprennent leurs voitures; voire leurs vélos, lorsqu’ils le
peuvent.
Mais le comble, c’est encore la SNCF qui, avec sa fililale
GEODIS, exploite une flotte de camions pour transporter son fret
après avoir fermé gares et dessertes secondaires!
Il semble donc que le maillon fort de nos transports
inter-modaux que sont les trains et les bus devienne en France peu
à peu un maillon faible du système capable de résoudre les
équations « train+ vélo » ou « bus+ marche à pied ».
Un maillon si faible et exsangue que la SNCF envisage de relever
ses tarifs de TGV de 25%…
Il est vrai que managers et employés ont tellement tiré sur la
corde de la discorde à la SNCF, aidés en cela par les hérésies
bruxelloises du tout concurrentiel, que tout plaide en faveur d’une
refondation de cette entreprise. Une fois le pourrissement
terminé.
Quant aux quartiers privés de bus caillassés, on ne peut quand
même pas y faire circuler des bus blindés et grillagés…il faudra
donc redécouvrir la marche à pied. En attendant mieux!…
Ne nous trompons-pas!
Tous ces soubresauts qui affectent nos transports en commun sont
les germes d’un mal sociétal plus profond qui met en lumière une
autre perspective, celle de la mise en cause de notre liberté
d’aller et venir là où nous voulons et quand on veut. Avec des
motifs plus ou moins obscurs qui ne disent par leur nom. Pas
encore…
Il va donc falloir une bonne dose d’imagination et
d’explications à tous les niveaux de la République pour remettre le
train sur les bons rails.
Pour l’heure, on reste circonspect devant les atermoiements de
décideurs qui ne décident rien.