Montpellier, avantage vélo!

Montpellier, le marché du Peyrou. Des enchevêtrements inextricables de véhicules dans la vieille ville

 

C’est dans Vélotaf qu’un habile cycliste montpelliérain, nommé Thiours, présente sa carte des déplacements urbains à vélo. Il l’a construite lui-même sur le modèle des transports en commun, mais avec la différence qu’il a choisi d’indiquer les temps de trajet. On sait en effet qu’un vélo se faufile partout, bouchons ou pas. La chronométrie est donc crédible par principe, au moins autant que celle d’un tram qui subit des aléas de fonctionnement. Continuer à lire … « Montpellier, avantage vélo! »

Montpellier, un désastre annoncé

Le Lez canalisé à Lattes en direction de la mer (vélomaxou)

Je ne voudrais pas mettre les pieds dans le marigot languedocien, mais force est de reconnaître que le bétonnage en règle de toute la ville de Montpellier et de son agglomération ont conduit aux débordements du Lez lors de l’orage du 29 septembre.

Il se trouve que je connais un peu l’histoire de cette ville depuis quarante ans. Continuer à lire … « Montpellier, un désastre annoncé »

Montpellier-La Gardiole-Thau à VTT

Balaruc, voyage maritime pour mon VTT

Je quitte Montpellier.

Après 4 kilomètres, je suis toujours en ville.

Dans une impasse, bloqué par le Rieu Coulon.

Un mur d’épines m’empêche de franchir le ru pourtant à sec. Continuer à lire … « Montpellier-La Gardiole-Thau à VTT »

Montpellier-Palavas-Maguelone

Palavas

J’ai pris mes quartiers d’hiver.
Il est vrai qu’avec dix degrés de plus qu’en Alsace, on ferait presque du vélo en maillot.
VTT aujourd’hui pour découvrir le Lez depuis Montpellier et ce que l’homme du sud n’a pas encore bétonné dans cet espace littoral languedocien. Continuer à lire … « Montpellier-Palavas-Maguelone »

« A partir de là, ce n’est plus nous »

« A partir de là, ce n’est plus chez nous! »

Dépités, les cyclistes qui apprennent que non, la piste n’ira
pas plus loin, ce n’est plus la même autorité de voirie…comme si
les automobilistes devaient poursuivre leur chemin à pied!

Les associations de cyclistes urbains se battent comme elles
peuvent pour faire entendre leur voix auprès des instances
décisionnelles.

Témoins, les cyclistes montpelliérains qui tentent de
s’organiser et de répondre aux effets d’annonce des politiques qui
se flattent d’inaugurer des bandes cyclables ici et « là où ça
ne gène pas les voitures »

à lire dans Vélocité
Languedoc

Le gag, c’est qu’un obscur « Top des meilleures villes
cyclables »
place Montpellier à la sixième place des villes
cyclables.

C’est dans Weelz

Vélomagg, le vélo pour aller à la plage

Blog de velomaxou :Vélomaxou, le blog d'un cyclo mulhousien, Vélomagg, le vélo pour aller à la plage

vélomaxou

Gérés par les transports urbains de la TAM à Montpellier, ils sont solides.

Porte bagage soudé au guidon.

Pneus Schwalbe increvables.

Pas de chaine et deux boites de vitesse!

Il faut au moins ça pour grimper au Peyrou.

On les trouve dans l’agglomération de Montpellier…jusqu’à
Palavas au bord de l’eau.

Outre le poids prohibitif de ces « chars d’assaut », leur gros
défaut c’est qu’on se les fait voler très facilement en dépit des
antivols.

Le Pic Saint-Loup, la Rammersmatt montpelliéraine

Si les mulhousiens ont leur montagne « dominicale » avec « la
Rammersmatt », les montpelliérains ont leur Pic Saint-Loup.

C’est la bosse préférée de ceux qui profitent de leur loisir
favori le dimanche matin pour s’oxygéner au nord de la grande
métropole de l’Hérault.

Le plus dur étant de quitter la ville sur son vélo.

On ne s’offusquera pas ici de vous voir rouler sans casque; le
port du casque est encore perçu comme un accessoire emprunt
d’inutilité propre au tempérament méridional.

Paradoxalement, plus l’on est rapide sur son vélo, plus le port
du casque semble désuet et tous cas contraire à l’image
sportive.

( Il faut dire que dans l’Hérault et
autour de Montpellier, les pistes cyclables sont rares et que les
voiries hors grands axes sont étroites et souvent sans
accotement.

L’automobile y est reine et le cycliste peu
respecté
.

Intra-muros, il est déconseillé d’utiliser
son vélo dans la ville.

Et si l’on songe parfois aux vélos dans les
infrastructures nouvelles, c’est souvent pour « le
décor ».

Exemple, avec cette nouvelle voie de tram en
construction aux Près d’Arènes où la piste vélo est en
zigzag… »C’est pour les faire freiner! » me dit mon ami
Pierre-Yves, à l’humour inoxydable et célèbre montpelliérain très
au fait de la circulation urbaine.

Bref! cette voie des Près d’Arènes qui
devrait permettre de rejoindre la route des plages n’est pas tout à
fait le genre d’ouvrage qui va faciliter la vie aux
cyclistes.

Il demeure que se hasarder sur le pont de la
« Languedocienne » en direction de Palavas reste un tour de
force!
)

Mais dès que le pied du massif du Pic Saint-Loup est atteint,
alors les cyclos peuvent se lâcher et se lancer le défi d’arriver
en haut le premier.

En haut de quoi?

En haut d’une petite bosse sympathique qui « culmine » à 244
mètres!

L’arrière pays montpelliérain vaut le déplacement avec ses
villages qui, en dépit de l’urbanisme débridé, ont su préserver
leur caractère typique en leur centre.

Grabels, Saint-Gély du Fesc, les Matelles, Saint-Mathieu de
Tréviers, le Mas de Londres, Viols le Fort, Murles,…autant de
lieux ensoleillés au coeur des chênes verts et du vignoble.