Pour collectionneurs seulement. La belle plaque de cadre ancienne se collectionne. On en trouve sur Ebay, certaines parfois très chères. L’essentiel n’est pas le prix, c’est l’intérêt qu’on lui porte en souvenir de tous ces fabricants de vélos dont la plupart aujourd’hui disparus. En posséder quelques-unes me suffit.
A ne pas confondre avec les plaques fiscales de vélo qui elles aussi se collectionnent. Voir cet excellent site d’Arnaud Kempeners avec des plaques très belles.
Ce n’est pas parce qu’on est cycliste qu’on échappe à la fiscalité de son Pays.
Rouler à vélo, c’est moins d’essence donc moins de taxes à payer.
Et aussi moins de réparations et d’entretien sur votre véhicule si vous en possédez un.
Restent tous les autres taxes et impôts.
Impôt sur le revenu, taxe foncière, taxe d’habitation, taxe sur l’audiovisuel, cotisation foncière des entreprises, CSG, CRDS et autres TVA.
Habiter en France devient presque un luxe pour certains. A un point tel que les plus riches choisissent de s’en aller voir ailleurs… Continuer à lire … « Cycliste et contribuable »
Immatriculer les vélos.
C’est l’idée dans l’air au Québec.
Le mouvement qui vise à immatriculer les vélos est largement entretenu par les automobilistes qui se plaignent de l’indiscipline des cyclistes (lire l’article). Continuer à lire … « Immatriculer les vélos »
Les collectionneurs s’en donnent à cœur-joie. C’est pendant la période d’hiver que beaucoup en profitent pour mettre à jour leur collection personnelle.
Tout est bon chez le collectionneur ou presque…l’essentiel c’est de pouvoir chiner, briquer, exposer.
En marge des musées, des brocanteurs, des antiquaires, le collectionneur cultive une passion pour le beau, l’ancien, le rare ou même des objets de la vie quotidienne et en voie d’extinction.
Beau? rare? ancien? On s’attache parfois à des vieux trucs simplement pour le souvenir de son propre passé rien que pour mesurer la vitesse des progrès technologiques. Continuer à lire … « Antique »
Figurez-vous que le vélo a suscité dans le passé des appêtits de
la part du fisc puisque, jusqu’en 1958, il fallait s’acquitter
d’une taxe pour rouler à vélo.
C’est en 1893 que sont apparues les premières plaques de vélo en
laiton puis en aluminium.
Mais des petits malins avaient trouvé le moyen de frauder le
fisc en collant du papier à chocolat sur du carton pour imiter
l’aluminium.
Puis du fait de la rareté du métal pendant les guerres, ce sont
des plaques en carton qui ont vu le jour…ainsi que des timbres
fiscaux qu’on peut retrouver à l’intérieur des guidons de vieux
vélos…
Bref! toute cette histoire fabuleuse de nos plaques de vélo est
relatée par Arnaud Kempeners sur son magnifique site
internet fort bien illustré.
A noter que des collectionneurs se battent pour posséder les
fameuses plaques qui trainent ici ou là.
Avis aux amateurs!
On visitera aussi le site consacré aux très jolies plaques
belges ici.
velomaxou 