Je quitte Montpellier.
Après 4 kilomètres, je suis toujours en ville.
Dans une impasse, bloqué par le Rieu Coulon.
Un mur d’épines m’empêche de franchir le ru pourtant à sec.
Je remonte une vigne poursuivi par un chien et je retrouve un itinéraire acceptable.
Après avoir contourné St Jean de Védas, je prends la D613 jusqu’à Fabrègues.
Il faut frôler la bordure avec ce trafic.
Finalement, je trouve un passage sous la Languedocienne et je grimpe dans le massif de la Gardiole.
Quinze kilomètres de chênes verts et deux collinets à franchir.
Je dégringole sur Frontignan par un single épineux et ponctué de ravines.
Je poursuis jusqu’à Balaruc les Bains.
C’est un aimable ami qui m’embarque sur son bateau faire un tour sur l’étang de Thau.
La chance est là. Ce qui m’embarrasse, c’est mon vélo. Il fera donc partie du voyage.
D’abord, une visite d’un fond marin où le sondeur indique 24 mètres; une source d’eau chaude me dit-il…
Ensuite, le gros cailloux au milieu.
Mon vélo veut tâter la roche granuleuse où Brassens y venait faire quelques brasses, me dit-on.
Visite dans le port de plaisance de Sète.
Retour à Balaruc.
Il est 15h30.
Je choisis de rentrer au plus court.
Mon GPS trace une droite autour de laquelle j’oscille de mon mieux.
La D612 est infernale; j’oblique vers Vic la Gardiole.
Les Faïsses, la Rougière, une longue ligne droite peu agréable avant de rejoindre Villeneuve les Maguelone.
Entrer à Montpellier par des itinéraires secondaires ne vous exonère pas du trafic.
Il faut se faire tout petit et parfois jouer du trottoir dans les encombrements pour ne pas stagner derrière le files de voitures.
90 km dont 12 km sur l’eau où je me suis reposé.
Mon vélo aussi!
voir la trace GPS…

Lire ça c’est un supplice pour moi. Tu me donnes envie je vais monter un projet pour apres les fetes. J’ai plius de crochet d’attelage et le transport du velo devient un probleme.
Amities. Bon Week END
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Faut y aller!
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Maxou écrit ses aventures pour mortifier ceux qui ne sont pas encore en retraite (alors qu’ils en ont l’âge).
Je suis sur que Maxou se réjouit de savoir que certains de ses lecteurs dépriment en le lisant.
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Pourquoi m’en réjouirais-je?
Si j’écris des articles, c’est parce que j’aime le vélo et que je souhaite partager cette joie.
Pas de mauvais procès!
Si je n’avais rien d’autre à dire que des balivernes cousues de fautes, j’écrirai sur un mur Facebook.
Et j’atteindrais sans doute une notoriété à bon compte.
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salut,
ça donne très envie mais je n’ai pas encore le niveau
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SUPER TOUR DE THAU
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