Poisse: D’après Gaston Esnault, cette locution serait d’abord apparue dans l’argot des coureurs cyclistes (wiktionnaire).
Tiens donc!
Je comprends pourquoi pendant trois jours ma peau collait au canapé à regarder le Tour de France.
C’était donc ça: j’avais la poisse.
Ce matin, changement de programme.
Je prends le VTT et je file vers le nord.
Normal, le sud est tout noir.
-1100 à -500 ans avant Jésus Christ, c’est l’origine du tumuli en bordure du sentier de l’Ill. (voir l’emplacement sur la carte)
Il faut dire qu’on ne le trouve facilement. Souvent annoncé sur le parcours, jamais trouvé.
Aujourd’hui, je tombe sur l’emplacement alors que je le cherche pas.
Ne pas s’attendre à des miracles: ce sont des buttes de terre dans une friche sommairement fauchée.
L’or des tombeaux a du disparaître depuis longtemps.
Quand j’aborde le parc d’Ensisheim, je m’interroge sur la suite du parcours car le temps gris me rattrape…
A Reguisheim, les premières gouttes.
Je retourne par le bois en direction de la cité d’Ungersheim.
Une voie ferrée longe le sentier; les arbres ont poussé entre les rails.
Est-ce la voie métrique Bollwiller-Ensisheim-Colmar ouverte en 1901?
Je ne sais pas, mais peut-être qu’un lecteur érudit saura nous éclairer…

Que de beaux sourires sur ces photos, merci!
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