Ce matin, j’avais pris ma clé des champs.
Heureusement que je connaissais mon parcours tellement le brouillard était dense.
Les silhouettes des promeneurs se dessinaient peu à peu puis disparaissaient rapidement comme des ombres furtives.
Ce matin, j’avais pris ma clé des champs.
Heureusement que je connaissais mon parcours tellement le brouillard était dense.
Les silhouettes des promeneurs se dessinaient peu à peu puis disparaissaient rapidement comme des ombres furtives.
Tu as pris la mauvaise clé… dans le Sundgau, vers Ferrette-Ligsdorf-Winkel, tempête de ciel bleu et tableaux naturels à pleurer tellement c’était beau !
C’est vrai qu’on voyait bien le brouillard du côté de Mulhouse…
J’aimeJ’aime