Dans la plaine, ça va.
Vent portant, je m’approche tout doucement du vignoble et des collines sous-vosgiennes.
Quand arrive Gueberschwihr, je sens vaguement que je vais souffrir…
La rencontre avec la montée du Couvent Saint-Marc à Gueberschwihr est un juge de paix infaillible pour déceler son niveau.
Aujourd’hui, j’ai accusé le coup, mon vélo avait clairement envie de partir sans moi.
Rien dans les guibolles, je me suis repris à monter en cinq reprises, le temps que le cardio « refroidisse »!
Presque 26° au thermomètre et je me traîne lamentablement.
On voit tout de suite le résultat de trois semaines d’arrêt doublées d’une grippe qui a entamé mon capital « ressources ».
Bon, j’arrive enfin au Hundsplan et j’enfile tout l’attirail vestimentaire dont je m’étais débarrassé pour la montée.
Il est vrai qu’au vu du temps, j’avais revêtu trop de choses.
L’astuce pour la veste, c’est de la mettre dans le casque fixé au guidon.
Je m’offre un tiers de Bannstein et je redescend par le Val du Pâtre.
J’ai ma dose pour aujourd’hui.


Tu vas rire Maxou
Quand en août 2015 je suis passé par-là, je me suis arrêté pour faire une petite vidéo avec mon téléphone au petit banc qui surplombe la vallée
Stef
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C’est parce que je ne suis pas alsacien que je n’ai pas le droit de regarder ta vidéo ?
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Et avec un lien You Tube ??
Stef 😉
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