Ce parcours là ressemble à ces 100 kilomètres proposés par les clubs où, il faut bien l’admettre, on s’ennuie parfois beaucoup.
C’est à dire qu’on y roule pour rouler.
La désaffection du routier vient en partie de là.
Qu’y pouvons-nous?
C’est pourtant ce que j’ai fait cet après-midi rien que pour avoir des kilomètres.
Parti de Thann, j’ai rejoint l’Ecomusée, puis la Hardt jusqu’à Chalampé.
J’ai fait ma pause à Neuenburg où le grand beau temps profitait aux cafetiers et au glacier de la place.
Puis je suis rentré.
Petit-Landau, le canal, Mulhouse…la piste de Dannemarie.
A Didenheim, j’ai grimpé Morschwiller puis Reiningue.
A Aspach, j’avais mes 100 bornes.
Pas de difficultés, juste mal aux fesses.
104 au total.