
Je commence par les champs à deux pas de chez moi.
La nature est ordonnée, les surfaces délimitées au cordeau, les coupes réglées et les bottes de paille dispersées avec méthode.

Un étang et sa quiétude

Mais ce qui est détestable non loin de là, c’est un dépôt sauvage qui a surgi.
Mon VTT en profite pour piquer un roupillon.


Etang de Cernay, ça ne s’arrange pas.
Je m’interroge toujours sur la sociologie de ces individus.
Sont-ils à ce point désocialisés pour passer un bon moment au milieu de leurs prores ordures?
Je ramasse tout ce que je peux et je dépose au bord de la nationale.
Le gérant de l’étang de pêche me dit que parfois la ville de Cernay procède à des ramassages.


Ces types là reprennent-ils la route ensuite?


Cette tour me donne le vertige.
L’hiver dernier, un arbre est tombé sur la palissade.
Rien n’a été réparé.
Les ouvrages sont ouverts à tous…et on trouve sur les chemin des étiquettes SFR d’identification des câblages!


C’est la France poubelle en péril.

Même les cygnes font l’autruche pour ne pas voir ça.
