Les cyclos y convergent.

Ceux qui vont tâter les pentes de Gueberschwihr ou ceux qui vont s’engouffrer ensuite dans la vallée de Soultzmatt. Je m’arrête à Rouffach que j’aime bien. Je lui trouve un cachet médiéval de belle facture.


Le long d’une allée ombragée, des jardins bordent de hautes demeures bourgeoises. Et la perspective se termine par un donjon carré et fortifié.



Je n’en demande pas plus. Je fais demi-tour.
