
Prononcer le mot mère est un non-sens car l’homme n’a plus de mère.
Il s’avale vite le roman d’Aldous Huxley a paru en 1932. Et il est parfaitement d’actualité avec les conséquences de l’épidémie qui conduisent l’humain à accepter des choses pas forcément choisies comme les privations de se déplacer, de se réunir et la presque obligation de se faire vacciner pour survivre.
Huxley a décrit une fiction dystopique, c’est à dire une société imaginaire d’où l’on ne peut s’échapper et dont les dirigeants exercent une autorité totale sur les citoyens.
Pas d’amour, juste de la fornication. Pas de procréation, des usines à concevoir par types de besoins sociaux. Des êtres prédestinés soit à devenir ouvriers ou intellectuels,…
Un monde effrayant ou chacun est invité à avaler son soma chaque soir pour mieux dormir, c’est à dire une drogue puissante qui vous rend euphorique.
Il faut le lire pour comprendre jusqu’où pourrait mener un totalitarisme moderne et mondialisé.
Et si vous n’êtes pas dans la ligne, on vous expédie en Islande ou chez les Sauvages!
