
Les questions énergétiques reviennent d’actualité avec la pré-campagne présidentielle.
Le nucléaire est à nouveau en pôle position parmi les solutions possibles pour nous épargner les écrans noirs sur nos ordis.
Dit comme ça, c’est puéril, j’en conviens.
Pourtant il faut se rendre à l’évidence, nos sociétés libérales n’ont pas d’autres choix que de revenir au nucléaire pour passer « l’hiver énergétique » qui s’annonce avec la fin du tout pétrole et des combustibles fossiles.
Je ne vais pas finasser comme tentent de le faire les écolos en nous recommandant de porter des pulls à la maison les jours de grands froids. Non, chacun sait bien que le fameux mix énergétique sera constitué d’ici les trente prochaines années d’énergies renouvelables sous forme d’éolien et de solaire et pour la base de nucléaire.

Tout le reste n’est que foutaise, ne nous embarrassons pas à tergiverser. D’autant que le virage de la bagnole électrique nous attend au tournant!
J’ai toujours été partisan d’une économie administrée pour les industries vitales à la nation. L’Europe quant à elle veut faire la peau à tous nos monopoles au nom du sacro-saint libéralisme concurrentiel. C’était tout le contraire qu’il fallait faire en terme énergétique: construire une Europe de l’énergie.
