Amic


il faisait beau aujourd’hui sur les crêtes vosgiennes

Je ne suis pas monté sereinement à l’Amic. Il est vrai qu’on n’a pas encore beaucoup de km dans les jambes en 26 mars.

A la sortie de Willer, je me retourne…j’avais un type dans ma roue.

« Ah, mais on est deux…ne vous privez-pas, passez devant…« 

« Non, non je n’en ferai rien…« 

Je suis donc monté comme ça avec un type derrière qui avait eu la bonté de laisser 100 mètres d’espace.

J’ai horreur de ces situations. Pour moi c’est pire que s’il était devant car mentalement j’ai l’impression de mener le train…et j’atteins des cardios de folie.

Bon à Goldbach, j’étais raide comme un passe-lacet. Mais j’ai puisé, j’ai ratissé au fond des réserves car j’ai du métier et mon dérailleur a cru que je devenais fou. A Blanschen, je sais que c’est encore difficile. Du coté du terrain de foot il y a un méchoui à renifler.

A l’Amic, je souffle sur le parking. Mon suiveur se prend en photo devant le monument du capitaine. Il semble hésiter à prendre le Grand Ballon.

Je descends à Wuenheim qui est encore fermé jusqu’au 1er avril. Je sais que s’il y a un comité d’accueil en bas je suis bon pour le PV. Mais je croise des cyclos qui montent, c’est bon signe.

46km/700m

La pente coté Willer semble plus difficile (9.2km/456m) que coté Wuenheim (11.86km/536m) avec des passages nombreux à 7,8,9%
Je me traine comme je peux dans la montée

3 réflexions sur « Amic »

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :