La planète crève sous les ordures

Ramassage des ordures à Louvain-la-Neuve

On commence à s’intéresser au phénomène dès lors qu’on frappe à notre porte-monnaie.

Les ordures ménagères ne sont qu’une conséquence de notre incroyable modèle de consommation et de croissance encouragé par le toujours plus. Continuer à lire … « La planète crève sous les ordures »

L’Alsace, dépotoir à ciel ouvert?

C’est une image que les Alsaciens n’aimeraient pas voir: celle du dépotoir à ciel ouvert que constitue le bord de nos routes et le cœur de nos forêts.

En voiture, on n’a pas le temps de les apercevoir.

A pied ou à vélo, si!

Nos deux quotidiens régionaux se livrent donc avant l’arrivée du printemps en mars prochain à une nième opération de prise de conscience pour éviter que chacun jette n’importe quoi dans ses poubelles et au bord des routes.

Il est vrai que l’incinération et le tri sélectif ont du mal à faire bon ménage.

Pourquoi? Continuer à lire … « L’Alsace, dépotoir à ciel ouvert? »

L’incinération des ordures, le mauvais choix

Notre environnement, on l’aime beau.

Vous savez comme je peste à la vue de ces ordures qui salissent nos entrées de ville et notre campagne jusqu’aux confins de sentiers réputés pour leur inaccessibilité aux moins courageux d’entre-nous.

Alors?

Faut-il imaginer que parmi les sportifs amoureux de la nature, il y a aussi des intrus qui se glissent parmi nous?

Oui, hélas!

Il suffit en montant les cols de compter ces pipettes vides de glucose…

Je me souviens des tas de fumier dans mon village  d’enfance devant les fermes et où les poules s’en donnaient à cœur-joie.

Vivons-nous une réminiscence de réflexes malfaisants enfouis en nous?

Hier, le fumier exhibé devant la ferme en gage de richesse, aujourd’hui, les fioles en plastique des grimpeurs…et aussi me dit-on des tonnes d’ordures abandonnées dans les Alpes et l’Himalaya!

Je ne sais pas si c’est de cette époque que nous vient l’image du coq gaulois qui chante fièrement les deux pattes dans la m…e. Continuer à lire … « L’incinération des ordures, le mauvais choix »