Le temps est médiocre mais doux.
Après l’épisode pluvieux de la veille, les nuages semblent se montrer plus cléments.
J’en profite pour faire du VTT qui, vous le savez, est idéal en hiver pour se maintenir en forme.
Avec mon VTT de 13 kg, sans forcer, je fais du 20 de moyenne sur la route et au total sur un parcours comme celui-là du 17.5 km/h.
Il me reste donc du temps pour prendre des photos.
C’est confortable le VTT.
Bien suspendu à l’avant et à l’arrière avec des gros pneus gonflés à 3 bars ou moins, on n’est pas secoué et on n’a pas mal aux fesses. Le plus dur, c’est de reprendre le routier après avec ses pneus étroits gonflés à 7 bars.
Je prends la route goudronnée jusqu’au Bollenberg, cette colline devant Orschwihr dont on vante tant l’intérêt botanique et faunistique.
Les vignerons ne peuvent pas planter là sur cette colline sèche aux qualités méditerranéennes.
La petite grimpette aux abords donne l’illusion de la montagne.
Pas de randonneurs aujourd’hui. Seuls les viticulteurs sont dans leurs vignes, le sécateur électrique à la main.
Puis je retomberai dans la plaine d’Alsace.
Peu après Gundolsheim, je trouve des chemins sympas qui me ramènent à Ensisheim dont le chemin de la cabane barré d’une chaîne dissuasive.
Et pourquoi donc toujours barrer les chemins?
C’est une maladie de barrer les accès partout.
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Bonne année et surtout bonne santé à toi Maxou, ainsi qu’à tes proches et tes lecteurs
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Tu me fiches le moral en l’air avec tes belles photos
L’Alsace me manque beaucoup, si tout va bien je monte fin Août pour une semaine dans la vallée du Florival.
A bientôt
Stef
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Bonjour,
ces photos fortement contrastées sont magnifiques.
je ne connais pas le pays et ce genre de billet me le fait regretter.
Bonne année 2016.
JP Bertrand
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