Une rubrique comme celle-là, c’est très facile à alimenter. Juste une image, une photo et le tour est joué. Je vous invite à m’envoyer tous vos clichés afin qu’on puisse faire un musée des horreurs de « Holala, c’est dangereux »
L’heure n’est plus à la concertation: pour se concerter, il faut être plusieurs et être entendus. Or le monde du vélo n’est pas entendu. On nous dit « oui, oui! » et dès qu’on a repris son vélo, tout est comme avant.
Les municipalités se servent des cyclistes d’abord pour s’acheter une forme de paix civile et pour se « verdir ». Mais sur le fond, rien ne change.
Pire sont celles qui se servent de nous pour réduire la vitesse des flux de véhicules. Par exemple avec des rétrécissements, des dos d’ânes.
Passage du canal du Rhin à Chalampé
Holala, c’est dangereux!
Je serai donc un de ceux qui dénoncent les incohérences des décideurs publics puisqu’il est avéré que le cycliste est un citoyen fusible sur lequel on peut compter.