
Ce matin, je me suis fait plaisir. J’ai grimpé jusqu’à Freundstein. Faire un peu de montagne en février, c’est plutôt inhabituel. Il faisait beau et le massif était séduisant. Quelques touristes égarés et des fondeurs qui montaient au Grand Ballon avec leurs voitures. Cette montée par Goldbach demande de la patience car certains passages font 8-9%. Lorsqu’on est seul, pas d’affolement, le temps ne presse pas. Je monte sans effrayer mon cardio et en préservant mon entorse. A Freundstein, la route n’est pas encore ouverte. Je ne tente pas de redescendre par là avec mon vélo de route car je suppose que la route doit être encombrée de débris forestiers. J’avais 9° au départ et 17° en altitude vers 10h30.
Je ne me sentais pas encore assez motivé pour aller jusqu’au Grand Ballon.


