



J’ai tout monté sur le vélo jusqu’au km 14. A partir de là, la dernière grimpée au Rossberg dépasse les 15%, je pousse…et puis je pousse aussi pour atteindre la table d’orientation.
Gaffe dans la descente!
Il y a des passages périlleux en descendant à Martisplatz.
Et puis je m’offre en plus la vue Zuber. Là aussi avant le Wéierlé, c’est casse-gueule.

