
Je compte, je recompte, je corrige, je vérifie,…
L’arithmétique d’enregistrement de mes cols franchis à vélo est une gymnastique du lendemain devant son ordi. Il ne faut pas en oublier dès lors qu’on se plie à la règle du jeu. C’est une chose futile dont on pourrait se passer. Soit!
Mais c’est une révision, une façon de revisiter sa route et pourquoi pas de s’émerveiller qu’on ait pu le faire alors même que les difficultés se renforcent année après année.

Ajouter deux fois le même col sans le faire exprès parce qu’on a déjà été par là il y a longtemps? impossible! L’informatique du club des Cent Cols veille.
Mais déclarer un col qu’on n’a pas réellement franchi, ça c’est une tricherie avec soi-même. Je m’en garderais bien. Sinon le charme serait rompu. Passer à dix mètres d’un point géographique, c’est discutable. Il y a des puristes, surtout si le panneau n’existe pas. Je ne tombe pas dans de genre d’excès. Un col c’est un point sur un cheminement humain ou de mulet. Alors n’exagérons rien!

Voici donc ma liste déposée pour ces trois journées passées à VTT dans les Vosges du Nord.
Ils sont au nombre de 21. C’est l’occasion de revoir les toponymes de ces points culminants de grimpées. Des noms évocateurs d’histoire et parcourus par des générations de voyageurs pédestres, de travailleurs agraires ou sylvicoles ou de chasseurs


