cliché Vélomaxou
La cyclabilité des voiries, on en parle.
Quezaco?
Il s’agit de mesurer la capacité des voiries à accueillir
les vélos, c’est-à-dire leur caractère plus ou moins sûr et
praticable. Concrètement, des codes couleurs permettront
d’identifier cinq niveaux de sécurité, calculés sur la base
de trois critères:
– présence ou non d’aménagements cyclables et
lesquels,
– vitesse autorisée pour les véhicules motorisés,
– enfin, débit et proportion de poids-lourds
présents.
Autres informations qui seront fournies : les aménagements
dégradés soit par la présence d’un revêtement de mauvaise
qualité, soit parce qu’ils sont jugés trop étroits ; les
pentes importantes (plus de 5 %) ou très importantes (plus de 10 %)
; les sens uniques.(source: Ville, rail et
transports)

cliché vélomaxou
Bonjour les dégâts!
Vous imaginez tous les petits pédaleurs qu’il va falloir mettre
en scène pour savoir si une voirie est verte, rouge ou orange?
La FuBicy semble s’impliquer aussi dans le processus pour mener
l’enquête sur le terrain.
C’est ainsi qu’à Rixheim, périphérie de Mulhouse, 35 km sur 59
seraient cyclables, soit 60%!…
60%, c’est vert ou orange pour la FuBicy?
Maxou craint en fait que, derrière ce but louable, on cherche à
valider un constat et à se donner bonne conscience: le vélo est de
plus en plus difficile à pratiquer en ville!
Des plans de circulation « pro-bagnoles » qui éliminent les vélos,
des chicanes en tous genres qui dissuadent les cyclistes, des
voiries de plus en plus encombrées et bordées de trous et d’objets
en tous genres repoussés par le trafic.

cliché vélomaxou