Ils se reconnaîtront mes amis qui vont couché…et ceux qui rêvent d’aller se coucher sur ces machines à fauteuil. On devrait presque dire à fauteuil relax, tellement on s’y sent bien!

Bon arrêtons de plaisanter! Le vélo couché est une discipline qui a ses adeptes comme en atteste leur site internet. On parle aussi de vélo horizontal par différence avec le vélo conventionnel, le vélo debout.

J’ai toujours eu de l’estime pour ces esthètes de la chose cycliste poussée au raffinement. Des vélos couchés, il en existe de toutes sortes. A deux roues, des tricycles, les fameux trikes, des combinés, « à bras » pour le handicap, « à jambes », et à carrosserie comme le Quest.
Les arguments en faveur du vélo couché:
Les avantages principaux de cette configuration viennent d’une part de la meilleure pénétration dans l’air, la surface frontale étant réduite de plus de la moitié par rapport à un vélo classique (et donc vitesse plus élevée à puissance égale), d’autre part de la position moins contraignante pour le squelette et pour le cœur : comme l’énergie à dépenser pour vaincre la résistance de l’air croît proportionnellement avec la surface frontale, l’économie réalisée est importante. (Wiki)
Il y a d’autres avantages : la récupération physique plus rapide, l’excellente visibilité naturelle vers l’avant sur 180° sans contrainte dans le cou, le confort du siège par rapport à une selle ; comme le véhiste ne s’appuie pas sur les mains, aucune contrainte ne s’exerce sur les poignets. On peut donc, à vélo couché, parcourir de grandes distances sans douleur. (Wiki)
Mais il y a des inconvénients, on s’en doute. Le dos qui est moins ventilé, l’engin est plus lourd, sa transmission génère un moins bon rendement avec sa longue chaîne, moins visible dans le trafic routier et aussi moins maniable en ville.



articles en relation
https://velomaxou.com/2014/04/24/mulhouse-strasbourg-en-velomobiel/










