


J’ai arpenté les rues, longé la Meurthe.
Remontant la rue Thiers, j’ai contourné la cathédrale pour monter sur les hauteurs.
Mais je n’ai rien vu.
Des voix de femmes s’échappaient là-haut près de l’orgue, puis les premiers accords d’un cantique ont raisonné.
Reconstruite après 1944, l’édifice est massif. Il pourra rassurer les chrétiens.
Le Festival de Géographie est terminé.
Je ne verrai rien du petit jardin chinois encore signalé le long du fleuve.
Le long du quai Sadi Carnot, j’emprunte la passerelle face à la rue Maurice Jeandon.
Aussitôt les canards rappliquent dans l’espoir d’une friandise.
