Même sous la pluie, la campagne est belle (Roderen, Rammersmatt en haut)
C’était une pluie fine.
Elle n’interdit pas le vélo de loisir.
J’ai pris le VTT car avec lui si le temps est trop menaçant, on est vite rentré à la maison.
J’ai tout de même tenté au km4 un itinéraire hasardeux: le chemin n’existe plus.
Au km 4 quand le chemin disparait je tente de grimper à l’estime vélo sur l’épaule. Sur cette photo d’il y a 50 ans, on voit le tracé du chemin (en rouge l’enregistrement GPS de mon cheminement)Au km4 des fleurs. Comme pour me récompenser d’être venu par là pour finalement faire demi-tour
Je voulais grimper à Kurrenburg non loin de la vue Zuber, hélas après avoir porté le vélo sur mon dos un petit quart d’heure, j’ai préféré renoncer en faisant demi-tour.
Mon parcours du jour 23km 400m
Une fois sur la route de Rammersmatt, je me suis offert le sentier de Mulhberg qui est un délice et qui conduit à Roderen.
un sentier délicieux
Au réservoir j’ai longé le Rueslochbaechle.
A Rammersmatt, j’ai pris le sentier botanique là où la pluie s’est mise à traverser le blouson.
Abrité sous un gros chêne pédonculé j’ai enfilé mon imperméable.
il est temps de mettre l’imper
C’est sensationnel, toute la vapeur d’eau enfermée vous procure une chaleur douce.
Mieux qu’Engie!
A Michelbach, j’ai pris Aspach-le-Haut puis le sentier qui conduit aux étangs de Bodenmatten à Roderen.
Jean-Marc Jancovici est un écologiste convaincu et convaincant.
Problème: il défend le nucléaire et c’est son défaut majeur vis à vis du mouvement écologiste dans son ensemble.
Moi ça ne me dérange pas. Il suffit de comprendre que se passer du nucléaire n’apporte rien au réchauffement climatique et que le conserver est plutôt favorable.
Il expose dans un texte comment il résout ses questions de mobilité.
Autour de chez lui en banlieue parisienne.
Et plus loin lorsqu’il doit prendre le train.
Il s’est affranchi de la voiture.
Tant mieux!
Ne pas prendre sa voiture dépend souvent d’un choix de vie comme habiter là où on travaille.