Ce matin, panneaux sur mon trajet urbain. Une des rues la plus pourrie de la ville, la rue du Commandant Cluny, va se refaire une beauté à l’aide d’une technique appelée Blow Patcher. Autrement dit « un pansage des plaies » qui affectent nombre de nos chaussées par manque d’entretien programmé.
Ironie de l’histoire cette rue qui comporte une douzaine de maisons a la largeur d’un boulevard et abrite le centre technique municipal et les services de l’Equipement Départemental.
Un camion, deux employés, un compacteur.
Et voila le travail!

Le seul problème c’est qu’il a fallu attendre longtemps et slalomer entre les nids de poule pendant en moins trois ans avec ma bécane..

Ce billet est à mettre en parallèle avec celui de J-à-V :
https://jeanneavelo.fr/2020/07/29/maintenance-des-amenagements-cyclables-aux-pays-bas/
Il y a un fossé culturel immense entre les 2 façons d’aborder le système vélo.
JPB
J’aimeJ’aime
un fossé culturel? non un abîme!
J’aimeAimé par 1 personne
Une douve sèche ! 😁
J’aimeJ’aime
Et encore une fois de plus un terme anglophone vient enfumer la population. Il est vrai que « rustine » aurait fait moins grandiose que « blow-patcher ». Pour ma part j’ai une préférence pour le terme « pédassage » utilisé en Midi-Pyrénées…. Pour les services communicants des mairies qui nous expliquent maintenant que ces « ravaudages » s’inscrivent dans une démarche écologique et économiques -car ils permettent de mettre juste les matériaux là ou c’est nécessaire- le cryptage anglo-saxon sera préféré!
J’aimeJ’aime