Mulhouse, sa fête du vélo

Départ donné place de la Réunion avec le président du CADReS Marc ARNOLD entête

Fête du vélo aujourd’hui à Mulhouse.

Après deux années d’interruption, la fête du vélo a renoué avec la tradition, sous l’égide du CADReS et grâce à ses militants fidèles. Parcourir les rues du centre-ville à petite allure, c’est un exercice qui n’est pas toujours au goût des usagers habituels et motorisés.

orchestre ambulant pour donner de l’ambiance, Dominique aux commandes

Mais dans l’ensemble, les automobilistes ont été patients et compréhensifs. Il faut dire que la police municipale à vélo a réglé l’avancement de ce convoi avec tact aux carrefours.

Sauf un conducteur qui n’a pas compris qu’un policier à vélo puisse lui imposer d’attendre le passage des vélos pour avancer…peut-être un méprise? Or un policier municipal dispose de toutes les prérogatives pour régler la circulation.

le benjamin a eu du mal à suivre le peloton

Je ne sais pas combien nous étions. Moins que certaines années sans doute. Mais comme je fermais la marche, je pouvais difficilement me rendre compte.

Plus nombreux, j’ai le souvenir que cela devient vite ingérable.

un parcours bucolique qui nous a permis de découvrir de petites rues sympas

Les vélos-cargos ont toujours la cote parmi le public.

Ce qu’on voit est exceptionnel

A l’issue du défilé, la tombola a permis à un heureux gagnant de remporter un vélo.

le premier prix

La fête terminée, j’ai remis mon vélo dans le train. A l’année prochaine!

Tour habituel

La Thur à Thann

Je me suis couché de bonne heure. Comme Proust.

Et je ne me suis pas mouché comme la nuit précédente à chaque demi-heure. A trois heures, le tonnerre. A six heures, l’averse.

Mon tour habituel consiste à rejoindre le centre-ville à deux kilomètres à vol d’oiseau, puis je rentre. Ce qui me fait cinq kilomètres. Ne pas se méprendre: ma ville habite la campagne, ce n’est qu’un gros bourg décati depuis que le Moyen-Âge l’a abandonné. Depuis, c’est devenu un refuge de rurbains, une excroissance au bout d’une voie rapide qui s’étrangle pour traverser la vallée. Sûr que si les locaux me lisent, je me faire incendier. Mais ils ne me lisent pas.

J’ai repris ma route en CAP (abréviation de course à pied). Un tour de ville où la biennale photo s’expose. Dès le départ, ma trachée brûle; je m’en accommode avec une giclée de corticoïde avant le départ.

J’ai à la main la petite gourde de 17cl. De quoi me désaltérer à mi-chemin. Je progresse lentement dans ma technique de course. Je teste des choses grapillées sur le net. Fractionné ou pas? les avis divergent. Moi, je stoppe le chrono et je marche sur 50 ou 100 mètres. Puis je repars.

J’ai une allure de course régulière (zone grise), j’évite les excès. Mon rythme cardio (rouge) semble surpris au départ, puis se stabilise

Puis j’ai zigzagué à travers le nouveau marché.

Je consulte les nouvelles à l’ordi un Kleenex sur la tête pendant que j’éponge le bureau qui ruisselle.

Je suis vanné comme si j’avais couru un 10 km.

Trente-cinq minutes pour évacuer le stress qu’on accumule, dit-on. C’est dommage, je n’arrive pas à en saisir une miette au passage pour voir à quoi ça ressemble, le stress.

Pompes en vente

chaussures Lake CX403. La tige en cuir de kangourou est, parait-il, très confortable.

Pascal Bride s’est trompé de taille. Alors il vend ses godasses sur mesure après 1000 km de souffrances (en deux sorties seulement!).

Modèle de base à 469 euros. Vendues à moitié prix. C’est donné.

Plus de détails sur ces chaussures mirifiques

On peut joindre Pascal Bride sur sa page FB.

Je classe en rubriques « matériel », « humour » …et aussi « coup de gueule » si ça déplaît.

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