Dans un dernier sursaut, je monte l’escalier.

Mes frusques sur le carrelage font de jolis entrelacs.
Mes pompes en chien de faïence dans leur boite n’ont plus qu’à se recoucher.
J’éponge une à une les gouttes de sueur sur le clavier. Je peine à contenir le flot ruisselant. Et je me dis, là, tu exagères.
J’attends que la chaudière finisse de refroidir.
Je me sens bien.
