Riespach, c’est le village natal de Tony Troxler, disparu en 1998.
Tony Troxler est célèbre pour son théâtre dialectal et ses interprétations.
On peut se référer à sa biographie ici
Une halte devant sa demeure natale à Riespach dans le Sundgau.
Riespach, c’est le village natal de Tony Troxler, disparu en 1998.
Tony Troxler est célèbre pour son théâtre dialectal et ses interprétations.
On peut se référer à sa biographie ici
Une halte devant sa demeure natale à Riespach dans le Sundgau.
Ferrette, dans le Jura alsacien, est une commune proche de la Suisse reconnaissable au loin grâce à son château médiéval juché sur un piton rocheux à 612m d’altitude.
En chemin, sur la route de Grentzingen
Les enfants d’Oberdorf sont en récréation
Voici un joli vert anglais
Enfin, Ferrette est en vue
Notre halte au pied de l’église de Ferrette avant d’entamer notre retour par Carspach, Altkirch, et la piste du canal de Dannemarie.
96km, vent frais de nord-est, 13 à 16°C
Le Sundgau est très prisé des cyclistes pour ses routes champêtres à l’abri des grands axes et aussi pour ses déclivités « attrayantes ».
On retiendra que la dénivelée moyenne sur un parcours est de 100m par tranche de 10km.
Aujourd’hui départ de Kingersheim en passant par Rixheim, puis montée à l’auberge de Buchwald…
Du coté de Ranzwiller, nous rencontrons un groupe de cyclos qui ne s’attardent pas en chemin…
Ranspach le Haut nous annonce son prochain Herbstmarkt
Sur les hauteurs de Blotzheim, nous sommes saisis par la fraîcheur et l’humidité ambiante peut-être annonciatrices d’un hiver précoce car les colchiques sont déjà dans les prés.
Cette belle route sous les platanes plantés au temps de Napoléon III achèvera notre périple sundgauvien avant de regagner la plaine du Rhin et la forêt de la Hardt.Avec un parcours de 90 km bien suffisant pour cette morne journée.
Qu’est-ce qu’une route apaisée?
C’est, nous dit-on, la route qui mène de Richwiller à Lutterbach.
C’est un gag évidemment!
Les cyclistes qui l’empruntent savent bien que cette route est parcourue par des fous du volant que même les ralentisseurs ne dissuadent pas.
Quant au revêtement, il est loin d’être apaisant pour nos fessiers!
Pour les curieux du concept de route apaisée, voici ce qu’en dit la FFCT:
Ce réseau routier correspond en général à
un trafic automobile d’environ 1 500 véhicules/jour et répond,
sauf cas particuliers, aux besoins des usagers cyclistes, à savoir
: une route « apaisée » ou la pratique partagée
entre tous les usagers demande, peu ou pas d’aménagements cyclables
; si ce n’est une signalétique directionnelle spécifique.
Ces routes tranquilles sont des parcours de substitution à certaines
dessertes routières, où la densité automobile est
un danger permanent pour les usagers vulnérables.
Aujourd’hui, direction la ferme-auberge du Molkenrain, au-dessus du Vieil Armand.
Malgré la menace d’orages, nous partirons quand même.
Heure après heure, le beau temps est revenu avec une température de 25 à 27°C et un beau ciel bleu sur le massif vosgien.
Chemin faisant, nous rencontrons les arboriculteurs de Bitschwiller en plein travail de pressage des pommes.
Poursuivons notre chemin…
Cette maison « végétale » avant de quitter Bitschwiller est vraiment remarquable…
Commençons la montée vers Goldbach…
Jean toujours de bonne humeur même dans l’effort…
Jean-Claude s’applique…
En binôme Jean et Gaston peuvent deviser…
Les boucles sont raides…
N’est-ce pas Jean?
Goldbach est en vue…
Chariot fleuri à Goldbach…
Freunstein est en vue…
Vue sur le Grand Ballon magnifique…
A présent,il faut gravir le Molkenrain avec une pente de 11 à 13%…
Admirons les Salers en pâture…
A bloc dans les cales…
Fier d’être arrivé…
Préparation pour le retour à Mulhouse…
Au programme du 7 septembre, le Val du Pâtre.
Parcours libre organisé par l’ACRM qui convie les cyclos à une concentration au Val du Pâtre.
Temps frais de 12°C et soleil timide.
Bergholtz et Orschwihr profitent des premiers rayons de soleil.
Même si un vilain nuage est encore accroché sur le Bannstein.
Une pause dépose de coupe-vents avant de gravir le Val du Pâtre.
Montée du Val du Pâtre.
Nos amis de l’ACRM nous attendent avec une collation.
A la chapelle du Pâtre, une cérémonie se prépare.
La montée au Bannstein reste une simple formalité avant de redescendre vers Guebwiller.
En passant à Hartmannswiller, on s’arrêtera un temps devant cette curieuse course automobile dite des « caisses à savon » où seule la pente anime ces engins sans moteur aux formes trés réussies.
L’association des cyclotouristes du Florival (ACTF) organise dimanche 5 octobre une grande rencontre cyclotouriste à Wuenheim. 3 circuits route, 3 circuits VTT.
Soultzmatt procède à des travaux d’extension de son futur cabaret qui, dit-on, sera capable de rivaliser avec celui fort réputé de Kirrwiller.
Les adeptes du cyclotourisme vont donc pouvoir bientôt croiser les derniers fêtards avant de monter le Bannstein le dimanche matin.
Le Bannstein où il fallait s’équiper aujourd’hui avant de descendre la pente tant le temps était incertain.
Cernay
est une ville étape pour les cyclistes qui vont vers le nord
le long du vignoble ou qui se rendent sur les crêtes
vosgiennes.
Le « Parc des Rives de la Thur » est une réussite et les
cyclistes profitent également d’un aménagement
cyclable en direction de Thann depuis peu.
La porte de Thann abrite un musée (en travaux actuellement)
Des cyclos-campeurs de passage
L’office du tourisme
L’église
La fontaine fleurie
Le parc à cigognes vue par camera en direct
fait le bonheur des enfants et des moins jeunes.
Oui, Vélomaxou aime bien cycler chez nos voisins
d’outre-Rhin.
Ils sont proches de nous et pourtant passer la frontière
nous procure un sentiment d’exotisme incompréhensible.
Bon, fini de rire!
Au programme le Blauen majestueux qu’on aperçoit depuis
chez nous.
Par Marzell et la Rehaklinik.
Dès Kandern, on se prépare à
l’ascension.
Arrivée à Malsburg.
On ne se lasse pas de cette vallée de Kandern.
Des bovins paisibles.
L’ombre et la lumière à la fois
réunies.
La plus forte pente qui avoisine 11% à la sortie de
Kandern.
Puis après la descente coté Rhin, un tour dans
Badenweiler en passant devant son Palais des Arts.
Il fait encore beau au départ de Mulhouse, mais les
nuages menacent sur le massif…
N’attendons pas pour partir!
A Wittelsheim, la tour du Markstein est réduite à
néant.
En montant au Hundsrück, on jette un regard sur
Bitschwiller où le temps s’obscurçit.
…en arrivant à hauteur de la
ferme.
Cet hameau situé en contrebas du Thanner Hubel s’appelle
Allenbourn; on l’aperçoit en montant le Hundsrück.
Aujourd’hui, c’est le désert autour de l’auberge de la
fourmi.
Pas de promeneurs ni de touristes, le temps n’est pas
propice…
Le mauvais temps nous a surpris en redescendant le
Hundsrück…
…et la pluie soutenue nous accompagnera
jusqu’à Mulhouse.
VELOMAXOU T MORT
C’est l’un des nouveaux tags qui orne la passerelle de la Thur
à Wittelsheim.
Cette passerelle fraîchement repeinte avait fait l’objet
d’une de mes chroniques en mai dernier.
Vélomaxou est donc lu jusqu’à Wittelsheim et pas
seulement par des cyclistes comme en témoigne ce tag.
Ceci dit, Vélomaxou n’est pas encore mort mais cette
inscription au pied d’une passerelle cyclable est une belle
épitaphe pour « un avaleur de bitume ».
On aime bien doter nos pistes de zig et de zag constitués
de barrières métalliques.
C’est le cas à Ungersheim.
C’est le cas à présent sur la piste Sausheim –
Battenheim.
Voila donc ce que ça donne quand un groupe de cyclistes
arrivent à ces zig-zag…
On sait que ce type d’ouvrage n’est pas présent en
Allemagne; mais en France, il faut empêcher les engins
à 4 roues de se faufiler partout.
– 16.000 porcs « charcutiers » produits par an,
300 à 320 par semaine
– 8.272 porcs sur le site
– l’épandage sur la
quasi-totalité du territoire communal et même
au-delà, de 15.800 m3 de lisiers/an
– des animaux élevés sur
caillebotis intégral, c’est-à-dire sur lisier
– 0, 66 à 0,70m² de surface de
vie par porc à l’engraissement
– + de 8.000m² de bâtiments et
locaux
– deux silos tour pour le stockage des
céréales de 18m de haut…
Munchhouse continue de manifester contre le projet
d’implantation d’une porcherie industrielle depuis 1996.
Et la pression ne semble pas retomber puisque tous les riverains
affichent la même détermination pour s’opposer au
projet.
Par convention, Vélomaxou place à
présent ses commentaires sous les illustrations et non plus
au-dessus.
Beau temps après cet épisode pluvieux du
début de semaine.
Direction la vallée de la Doller.
En passant, le pont qui enjambe la RN66 à la base
nautique de Reiningue a pris un peu de hauteur. Peut-être
pour laisser passer certains convois exceptionnels…
La base nautique de Reiningue offre un plan d’eau
agréable l’été pour les familles.
Le train de la Doller est équipé de beaux wagons
de voyageurs. Mais la rusticité de ce train qui faisait son
charme ne va t-elle pas en souffrir?
Nous montons après Sewen au barrage d’Alfeld situé
à 617m.
Voici le barrage d’Alfeld. Construite en 1884, cette retenue
d’eau régule le cours de la Doller pendant les
sécheresses et évite les crues d’hiver.
Longue de 255 mètres, sa digue peut-être
visitée par les promeneurs.
On aperçoit au fond une chute d’eau qui alimente le
barrage.
Une belle vue sur Sewen et la vallée depuis Alfeld.
Masevaux, ses façades ensoleillées.
Rougemont le Château possède un fleuriste singulier
qui collectionne les arrosoirs au point que sa façade, sa
toiture…
…et même son côteau en sont
couverts.
Le lac de la Seigneurie est apprécié par les
cyclistes de passage. Son bar restaurant y est accueillant mais les
touristes se font parait-il rares cette année…
115km.
Non, il ne fait plus crouic-crouic mon vélo.
C’est qu’en deux coups de clé à pipe et trois
tours de tournevis, mon vélociste a remédié au
problème.
Tout simplement en changeant le cadre qui poussait de
fâcheux cris de goret dans les côtes.
Maintenant, tout est rentré dans l’ordre!
Voici donc la bécane à Vélomaxou comme
neuve. Avec un équipement Campagnolo et un triple plateau
permettant les montées à un train de
sénateur.
Une belle demoiselle qui vaut à l’heureux
propriétaire toutes les félicitations de la
corporation cyclote des environs comme il se doit en pareille
situation.
Ce qui fait surtout la singularité de ce vélo et
ne manque pas d’intérêt, c’est qu’il est
équipé d’un compas permettant de ne pas perdre le
nord dans les circonvolutions régionales!..
Mais ce dont Vélomaxou a le plus besoin, c’est d’un
support photographique à demeure sur le guidon pour
éviter un grand plongeon sur le bitume.
Et peut-être aussi d’une corne de brume apte à
annoncer notre passage!
Le Pays du
Lomont s’étend le long du Doubs et regroupe les
villages du plateau calcaire de Blamont, première
chaîne du Jura.
Il comprend trois
cantons : Hérimoncourt, Pont de Roide et Saint
Hippolyte.
Le Pays conserve son patois avec quelques
exemples en italique dans ce texte soumis à la
sagacité des lecteurs.
Au départ de
Dannemarie, temps incertain et seulement 16°C en ce 9
août.
Il fallait donc être
bien bouché afin d’éviter
d’attraper une nique.
Notre randonnée
nous conduira à Delle, avec une incursion en territoire
suisse depuis Bure jusqu’aux grottes de
Réclères, situées dans le Pays de l’Ajoie,
puis retour sur les gorges du Doubs à Vaufrey et Saint
Hippolyte.
L’après-midi
plus ensoleillée sera consacrée à rejoindre
Valoreille, Chatillon, Liebvillers, Montecheroux, Blamont, Glay,
Beaucourt, Brebotte et retour par VR6.
135km à l’arrivée et 2000
mètres de dénivelée.
Qu’on ne s’y
trompe pas, le Doubs n’est pas de tout repos ; on sera
parfois rétrimoulés à la vue de la
pente et souvent mouillés de chaud sur le chemin du
retour.
Récit en
images.
Nous voici sur la route de
Suarce…
Une petite halte au
marché aux primeurs de Delle…
Le paysage aux abords de
Villars le Sec…
En Suisse en direction de
Grandfontaine…
Jean-Luc, instigateur
méticuleux de cette journée…
Grandfontaine…
La montée de
Réclère. Les grottes de Réclère recèlent
des stalactites et des stalagmites agrémentées
d’un parc d’attractions voisin susceptibles d’un
but de balade…
La descente vertigineuse
sur Vaufrey nous offre un point de vue magnifique sur les gorges du
Doubs et ses falaises de calcaire…
La fontaine aux lions de
Vaufrey…
Saint
Hippolyte, canton du Doubs est un bourg agréable et
touristique où nos poserons nos montures, histoire de se
jeter un gongon de vin jaune au goût de pierre et de
faire passer notre diaffe…
L’hôtel de
ville…
Saint-Hippolyte,
bucolique…
Nous quittons
Saint-Hippolyte pour rejoindre la chaîne du
Lomont…
Nous voici à
présent sur les hauteurs de Valoreille et cette digne
représentante des vaches
montbéliardes…
Bief et sa chapelle
construite en 1669 par les habitants épargnés par la
peste…
Arrivée à
Liebvillers…
Montée à
Montecheroux…
Monument à la
mémoire des combattants du Pays de
Montbéliard…
Glay…
Vandoncourt…
Froidefontaine
VR6…
Breisach am Rhein fait face à Neuf-Brisach sur les bords
du Rhin.
L’histoire de la ville remonte à 4000 ans.
Alors que la forteresse de Neuf-Brisach construite par Vauban
sous Louis XIV n’a été construite qu’après
1697 lorsque la France rendit Breisach à l’Allemagne.
Voyage pas très palpitant dans la plaine. Un vent de
sud-ouest nous aidera à rejoindre Breisach rapidement.
Atteindre Balgau…
En traversant le Rhin, on passe devant l’usine de production
électrique EDF de
Vogelgrun…
Arrivée dans la localité de Breisach, ville
touristique au bord du Rhin…
La cathédrale Saint Stephan domine le
Münsterberg…
Architecture…
La photo souvenir…
Vue sur la plaine…
A l’ombre de la cathédrale…
Le Rathaus…
Le retour en longeant le Rhin en direction de Hartheim…
106km
C’est du coté de Mosslargue que nous nous rendons.
Au départ…
Une petite côte après Hagenbach…
Puis nous rejoignons Hirtzbach par la piste cyclable…
A Moernach…
Nous bifurquons vers Mooslargue et sa vallée …
Après Seppois, nous rejoignons par la piste Dannemarie et
marquons une halte au port de Wolfersdorf, toujours aussi
agréable…
Puis c’est le retour à Mulhouse…
104km.