
On pourrait tenter ce jeu de mots pour la route.
Mais la route vous canalise dans un espace contraint.
En sortir réserve des déconvenues pour nos pneus fins.

En revanche, avec le VTT je m’éclate comme dit la jeunesse.
Ou mieux, elle dirait c’est génial!
Une fraction de seconde suffit à changer son itinéraire.
Ce matin encore, alors que j’entamais une montée dans le bois de Michelbach, j’ai obliqué brutalement.
Pourquoi?
Une sente discrète qui se dissimulait derrière le feuillage.
Avec le VTT, tout est prétexte à exploiter les ressources d’un itinéraire improbable.
C’est d’une logique folle à ravir ceux qui se déguisent le matin en aventurier d’un monde si proche et pourtant encore inconnu.














