Cyclisme utilitaire, le déplacement heureux

Le vélo utilitaire s’adapte à tous les besoins

Cycliste utilitaire

Cycliste utilitaire, c’est devenu le vocable conventionnel pour distinguer le cyclisme de loisir et le cyclisme d’usage.

L’un et l’autre ne sont pas antagonistes: rouler le dimanche pour se balader a aussi son utilité pour le bien-être du corps et rouler pour ses affaires n’empêche pas l’autre. Continuer à lire … « Cyclisme utilitaire, le déplacement heureux »

Bilook, cycliste parisien

Ça se regarde.

C’est tout.

Sûr, il faut du doigté!

sujets connexes:

la traversée de Paris à vélo par Micka et ses potes

angles morts

Vélorution du Florival, le film

Un bref retour sur la Vélorution du Florival de samedi 13 octobre avec quelques images

http://youtu.be/w3F0fF1egQQ

Vélo et citoyenneté

Certains s’en étonnent encore: mon blog porte en titre « cyclo des rues, cyclo des champs, l’actualité cyclo-citoyenne »

Le vélo, rien que le vélo!

J’en rencontre des inconditionnels du vélo.

J’en fait même un peu partie…pas assez à mon goût pourtant.

Mais parmi nous, il y a les cyclistes qui pédalent la tête vide. Continuer à lire … « Vélo et citoyenneté »

Qui veut du vélo de Bruno Gaccio?

Pas de dramaturgie, non.

Mais de la lucidité, oui!

J’ai rapporté hier la chronique de Bruno Gaccio sur France Inter dans l’émission « Comme on nous parle » de Pascale Clark.

Choquante à maints égards.

Je me suis fait rabrouer hier sur Vélotaf (le site des gens qui vont travailler à vélo) lorsque j’ai osé aborder cette chronique de Gaccio sous son angle politique et dire tout le mal que j’en ai pensé. C’est la règle dans les forums; quand on n’adopte pas le ton qui convient, on se fait expulser. Continuer à lire … « Qui veut du vélo de Bruno Gaccio? »

Une piste cyclable dans le cerveau

Blog de velomaxou :Vélomaxou, le blog d'un cyclo mulhousien, Une piste cyclable dans le cerveau

Une piste cyclable dans le cerveau?….

Cette fois, c’est sûr, Maxou a bien un petit vélo dans la
tête!

Oser s’attaquer à de telles lectures à 22 heures, c’est
l’insomnie assurée!

Selon « Vélo, potager et cerveau », notre cerveau
comporte « une autoroute avec un jalonnement
prioritaire, qui est la voie naturelle, celle de l’action sans
réflexion sous impulsion aversive (légère haine a priori), et qu’en
alternative à cela il n’y a qu’une petite piste cyclable mal
indiquée pour offrir un cheminement alternatif. »

Tout cela pour expliquer les phénomènes « d’imitation rivalitaire qui gisent dans notre
cerveau »
et qui provoquent tant d’agitation et d’échecs
parmi notre jeunesse.En cause, les carences de notre système
éducatif…

Dans ce registre là, celui de « l’agitation » de nos jeunes, tout
le monde ne peut pas être d’accord avec les explications avancées
par Vélo, potager et cerveau.

Il en serait ainsi des images à caractère sexuel dans les arrêts
de bus qui seraient libératrices de testostérone chez nos jeunes
mâles et facteur d’agressivité excessive…

En revanche, on est moins dubitatif en lisant qu’une demi-heure de vélo (Vélotaf) par jour
ferait plus pour endiguer le déficit de la sécurité sociale que
toutes les campagnes de prévention réunies.

Une économie chiffrée à 15 milliards d’euros par Inddigo-Intermodal.

Problème: il faudrait que les français parcourent au moins 300
km de vélo par an…au lieu de 75!

300km, cela semble si dérisoire aux « drogués de vélos » que nous
sommes qu’on se demande pourquoi on n’y arrive pas…

 

La gauche gagnante

Blog de velomaxou :Vélomaxou, le blog d'un cyclo mulhousien, La gauche gagnante

N’allons pas trop vite en besogne, il ne s’agit que de vélo.

C’est sans conteste un plébiscite: 55% des cyclistes enfourchent
leur vélo par la gauche!

C’est en tous cas ce qui ressort du sondage organisé par le site
cycliste « Vélotaf ».

Evidemment, il reste encore quelques indécis qui hésitent entre
droite et gauche et d’autres qui avouent être irréductiblement
droitiers.

22% déclarent enjamber leur vélo « le plus souvent par la
gauche »!…

Argument avancé: c’est le pied d’appel qui commande; c’est à
dire celui où l’on se sent le plus fort.

D’autres y voient une explication historique: les écoles de
cavalerie militaire apprenaient à monter le cheval par la
gauche…puis aussi les avions de chasse, par la suite.

De façon pratique, monter par la gauche
permet de se reposer avec le pied droit sur la bordure du trottoir
aux feux rouges…On pourra objecter qu’il est beaucoup plus
commode d’enfourcher son destrier depuis le trottoir en gagnant
tout de suite de la hauteur…

En revanche, on ne sait pas dans ce sondage de quel coté montent
les anglais…

Si vous décidez d’inverser le sens de montée de votre
bicyclette, soyez prudent!

Les habitudes ont la vie dure.

Il faut quand même admettre qu’entre cyclo urbain et cyclo
routier, il existe quelques différences.

Le cyclo de ville est souvent muni d’un béquille située à gauche
qui explique qu’on monte à gauche.

Pour le cyclo routier, la mise en marche est plus délicate: on
démarre volontiers « à l’arrêt » après avoir encliqueté une
cale plutôt qu’à « l’envolée », exercice beaucoup plus périlleux si
votre chaussure dérape sur la pédale!…

Bref, quel que soit votre notre mode de démarrage, nous sommes
majoritairement gaucher du pied!

Ce qui nous renvoie inévitablement à cette question sémiologique
fondamentale: le cycliste est-il de gauche?

 

Endomorphine à gogo

Sébastien Corradini, l’expérience d’un Vélotafeur.

Vélotafeurs à l’honneur

Il y a le vélo loisir et le vélo travail.

L’un n’empêche pas l’autre.

Les « vélotafeurs » sont ceux qui se rendent à leur travail à
vélo.

Ils ont leur site: vélotaf.

Entièrement relooké tout récemment.

 

B’Twin pliant Hoptown de Décathlon, l’essai

 

La référence en matière de pliant reste le Brompton suivi par le
Dahon ou le Nakamura.

D’autres marques s’essaient au pliant.

Avec plus ou moins de bonheur.

C’est le cas avec le B’Twin Hoptown de Décathlon.

Les pliants sont souvent des concentrés de compromis plus ou
moins réussis.

Compromis poids, rigidité, confort, motricité,
encombrement,…et prix!

Bref! comment résoudre la quadrature du cercle ou un vélo
roulant qui sait se faire oublier dès qu’on monte dans le train ou
le RER parisien?

Après cette belle vidéo de Foldinguebike, on pourra
lire les impressions de Jones sur Vélotaf.

300 euros.

Bionicon Urban Cargo

Les vélos cargos prospèrent sur le marché.

Le Bionicon Urban Cargo allemand ne manque pas de surprendre par
sa ligne et son aspect costaud, ses larges pédales et saselle
Brooks, s’il vous plait!

Le porte bagage se porte aussi bien à l’avant qu’à
l’arrière.

On se sait pas en revanche s’il existe en plusieurs
motorisations.

On imagine toutefois qu’il faut un bon moteur survitaminé pour
monter les côtes avec cette bécane.

Compter 1500 euros.

Plus de détails chez Vélotaf

Avez-vous une éolienne à bord?

On y vient tout doucement.

A force de développer des applications électroniques sur nos
vélos – GPS, téléphone GSM, MP3…et bientôt pilotage automatique
aux instruments pour pouvoir piquer un petit somme dans les
descentes, la dynamo va être de plus en plus sollicitée.

Et pour éviter les pannes de courant, pourquoi ne pas prévoir
deux génératrices comme sur les avions?

Le débat fait déjà rage sur Vélotaf.  Entre ceux qui proposent de
monter des éoliennes sur le guidon et d’autres qui considèrent qu’un
transformateur-redresseur et un accus branché sur la dynamo devrait
suffire à assurer l’autonomie des électroniques
embarquées.

Les règles d’or du cycliste urbain

Blog de velomaxou :Vélomaxou, le blog d'un cyclo mulhousien, Les règles d'or du cycliste urbain

Image C Dubois

Au début, je n’y ai pas cru. Le cyclisme a toujours été pour moi
une notion innée. Comme un sixième sens qui fait qu’une fois en
équilibre, on tient tout seul sur son vélo.

Mais non! Il faut se rendre à l’évidence: le vélo demande
adresse, savoir-faire, anticipation, et beaucoup d’autres qualités
pour se mouvoir dans notre environnement.

Il faut en effet une bonne dose de psychologie pour comprendre
le comportement urbain de l’automobiliste lorsqu’on est cycliste en
ville.

Les écoles cyclos qui vous apprennent à tendre le bras, à se
retourner, avant d’entamer son virage à gauche, la façon d’aborder
un rond-point, ces apprentissages là ne vous conduiront tout au
plus qu’à un certificat d’étude primaire de la
conduite cyclo.

Il faut maintenant avoir un brevet supérieur de
conduite pour affronter la rue.

C’est la thèse de Vélotaf:

« …pour faire du
lo, pensez
automobiliste!
Outre la connaissance des classiques
(portières, brusques virages à droite…), c’est un peu comme
observer des lions en cage : Ils trahissent toujours leurs
sentiments (l’agressif, le distrait, le dominant, le sot, le
négationiste, l’inquiet, le respectueux, le roule toujours, le
toujours distrait, le fonce dans le tas…). »

Oui, il faut connaître et savoir anticiper les réactions
primaires de l’homo-automobilis.

Et Vélotaf de poursuivre: … »Si vous
roulez à côté d’un véhicule, par exemple sur une bande cyclable,
regarder
attentivement ses roues qui vous indiqueront tout de
suite
– et plus sûrement qu’un
clignotant ! –
un changement de direction, notamment aux intersections. Cela vous permet
d’anticiper sur un écart ou un changement de direction du
véhicule »

Je vous renvoie à la lecture de l’article de Vélotaf, le site de référence consacré aux gens
qui « bossent » avec leurs vélos.