Qui pourrait trouver à redire à mon déplacement? je vais retirer une commande. Il n’est pas dit que le retrait de commande s’applique à des achats de première nécessité.
Le contournement de la règle du 1km/1h passe donc par des achats. Des achats préalablement commandés.
Aujourd’hui chaussettes.
K2 « achats »J’évite de prendre le même chemin pour le retour.
Je rejoins le magasin Décathlon de Wittenheim en passant par la forêt du Nonnenbruch. Le magasin est sinistre.
A Décathlon, on attend sa commande entre les barrières
On m’apporte mes chaussettes.
Décathlon a renoncé à réparer les cycles.
Je reprends la route en passant par l’étang du Seeboden.
Puis je fais un détour par les landes du Rothmoos à Wittelsheim. De nombreux promeneurs.
Je contourne la gravière Michel et je rentre par Graffenwald jusqu’au ball-trapp de Cernay.
Travaux et moquette pour les riverains à Cernay
A la piscine de Cernay, je prends le sentier de la Thur.
Merci les chaussettes. La prochaine fois, il faudra que je trouve autre chose…
Au retour, je prends Reiningue par les champs. Le soleil se couchera bientôt.
Le Click and Collect est une stratégie cross-canal qui permet aux consommateurs de réserver ou de commander des produits en ligne, puis de venir les retirer immédiatement dans une boutique. Il s’agit d’une action qui s’inscrit dans la tendance du web-to-store en préparant au mieux la visite physique du client.
A VTT, le client vient prendre possession de ses produits en utilisant tous les itinéraires permis alternant chemins, sentiers, pistes.
J’ai essayé aujourd’hui.
Le parking du grand Décathlon de Wittenheim est vide. Un désastre!
Premier magasin: Décathlon Wittenheim, parcours fastoche. A Staff, je prends le Sahel Vert et j’arrive au Terril Anna. Le vigile filtre les entrées du magasin désert. Des tas de colis attendent à l’entrée.
Ah non monsieur, nous n’avons qu’une commande à votre nom! peut-être avez-vous commandé à notre autre magasin de Dornach?
Décathlon Dornach. Le vigile fait les livraisons sur le parking
Et me voila parti à Dornach, au pif!…
Puis c’est le retour, je passe à Morschwiller sous la quatre voies et je rejoins Lutterbach. Ensuite Reiningue et la forêt jusqu’aux étangs de Cernay
Ça marche! L’essentiel étant de commander de petits articles pas trop lourds et peu volumineux pour le retour, surtout dans les single!
L’avantage, c’est qu’on n’attend pas la commande qui vous attend. Tout le temps passé peut donc être consacré au vélo. Ce qui n’est pas le but recherché, bien entendu, puisqu’il s’agit de vélo dit utilitaire.
Il a l’air mignon le Triban de Décathlon. Pourtant il semble souffrir de malfaçons rédhibitoires
Cet après-midi je suis allé voir le Triban de Décathlon. Un vélo de route avec des pneus de 28 et des freins à disques. Incontournable cette mode des freins à disques. Le cadre alu est de géométrie sloping, c’est à dire à la mode tube supérieur incliné vers l’arrière, à mi-chemin entre le course et le VTT.
A part voir le vélo en live, la vendeuse consulte son iphone pour me renseigner comme je le ferai chez moi sur mon ordi.
Décathlon a supprimé son appli qui permet de comparer les vélos entre-eux. Pourquoi? c’était pourtant pratique pour comparer deux vélos identiques ou presque mais dont l’écart de prix est de 200 euros. A la place, on a une page qui peine à nous décrire les caractéristiques du vélo et qui préfère nous imposer de belles images.
Comparer le modèle 500 et le modèle 520?…Attendez faut k’j’regarde!…
De toute façon faut commander en ligne car en magasin, y’en a pas et pis on n’a pas vot’taille, on n’a que le grand exposé.
Et les pneus tubeless ready, c’est compris dans le prix?
Attendez je regarde…faut changer la valve, mettre une étanchéité, changer les pneus,…
Bref, j’en sais assez, je m’en vais.
A la maison, je commence à éplucher le site Décathlon et je vois que pour 650 euros on a le bas de gamme avec du dérailleur SORA en 9 vitesses et des freins plus lourds de 200 gr que la gamme 520.
Ce n’est pas grave, c’est pour voyager avec bagages et pour le prix on en a pour son argent, me dis-je… Ce qui est bien avec ce vélo, c’est qu’on peut monter des gros pneus et monter des garde-boues…avec en plus de nombreux points d’ancrage sur le cadre alu pour les bagages.
Mais gros problème lorsqu’on se penche sur les avis des acheteurs sur le site D4L…
1/ les chambres explosent en pleine nuit sans prévenir et un client qui dort à coté de son vélo (!) a manqué de perdre l’ouïe!
2/ impossible de remplacer les pneus sur la jante
3/ les dérailleurs se dérèglent pour un oui pour un non
4/ un client perd une manivelle et manque de se tuer
C’est une vraie litanie de clients dépités. Que fait Décathlon? rien! il compatit tout en se gardant de rappeler ses produits.
Alors méfiance avant d’acheter ce vélo Triban qui manifestement n’est pas au point. Relativisons, les acheteurs de ce vélo sont souvent des débutants qui n’y connaissent pas grand chose en vélo, incapables de régler un dérailleur eux-mêmes…et c’est bien normal.
En revanche un pneu immontable, on imagine pourquoi mais c’est fâcheux…parce que le fond de jante est trop gros et empêche « de gagner du diamètre » au montage. Pourquoi Décathlon ne corrige t-il pas le problème? mystère!
…et les chambres qui explosent? manifestement, il y a des bavures dans le fond de jante.
Reste la légendaire mise au point bâclée des vélos. Des roues voilées, des fourchettes de dérailleurs qui frottent, des pédales qui se barrent en route, des freins mal centrés…On le savait déjà.
Donc allons voir ailleurs!…en attendant que Décathlon mette son vélo au point. Ou arrête de le vendre.
Le radar situé sur la commune d’Espère, dans le Lot, a été complètement détruit. — Préfecture du Lot
Merci les vandales!
La dégradation ou la détérioration d’un radar « est punie de cinq ans d’emprisonnement et de 75.000 euros d’amende ». Une peine qui peut être alourdie à sept ans de prison et 100.000 euros d’amende selon les circonstances.
Et pourtant, la presque totalité des radars fixes a été détruite. Les peines encourues, manifestement, n’intimident pas les auteurs des dégradations. Dans ce mouvement de défiance entre l’État et les citoyens, on ne sait pas qui va gagner le bras de fer. Souvenons-nous que l’État lui aussi sait être violent lorsqu’il éborgne les manifestants. Les arguties de Castaner qui tente d’établir un parallèle avec la hausse de la mortalité routière ne suffiront pas à convaincre les sauvageons.
En attendant, je ne risque plus temporairement d’être verbalisé sournoisement par ces machines absurdes les rares fois où je prends ma voiture. Merci les vandales! Plus philosophiquement, les radars posent la question de notre droit d’aller librement et à quelle vitesse. Évidemment si on va trop vite, on risque l’accident. Mais ceci est vrai pour tous les autres moyens de transport, les trains, les avions, les vélos, les motos et même les piétons. La question est donc de savoir si la restriction de notre droit de circuler avec les radars est en adéquation avec notre liberté tout court et pourquoi un panneau limitant la vitesse n’est pas en soi suffisant.
Hijab Décathlon
Hijab de course
Le climat est malsain pour le hijab de course de la centrale de sport. Il est clairement identifié comme un couvre-chef en lien avec l’islam, pas un article de sport. Or l’islam a mauvaise presse en France pour diverses raisons sur lesquelles je ne m’appesantirai pas. C’est comme ça, il faut l’admettre. Personnellement, je le considère donc comme un signe religieux et sexiste contraire à nos valeurs républicaines et laïques. En conséquence, je désapprouve son usage dans les pratiques sportives. N’en parlons plus puisque Décathlon a retiré son produit. Aurélien Taché, député de LaREM, a une façon pour le moins expéditive de traiter la question: il a comparé le voile islamique et le serre-tête au cours d’une émission télévisée de la 5 . A force d’être en marche, la République a tendance à perdre ses valeurs. Nous avons des députés zappeurs: lorsqu’un problème surgit, ils bottent en touche.
Pour mémoire, en 2010, on a connu l’affaire de la Burqa. Il a fallu une loi pour que les femmes voilées ne dissimulent pas leur visage derrière une moustiquaire en France. (article en référence).
Rémanence
J’voudrais bien, mais j’peux point. 55% de Français répètent ensemble à l’envi que la fête a assez duré. Les ronds-points ça pouvait encore passer, les centres-villes, non! comme lassés, ils clignent des yeux le samedi sur les boulevards de leurs emplettes. Ils clignent des yeux chaque samedi pour faire disparaître ce qui leur semble devenu incongru en République, pas bananière mais à la démocratie très peu représentative de la base, ces cohortes de manifestants de jaune vêtus qui depuis trois mois déambulent dans nos villes comme des âmes en peine. Cette rémanence du mouvement d’un samedi à l’autre les dérange au plus haut point. Si les manifestants sont identifiés comme des jusqu’auboutistes, en revanche on sait moins qui sont ceux qui protestent contre l’incapacité de l’Etat à arrêter ces manifestations. Des adorateurs du prince Macron qui n’en peut mais? Ce sont, pour sûr, pour la plupart ceux qui connaissent le confort matériel, un quant-à-soi qui les confine dans l’indifférence de ceux qui sont des laissés-pour-compte. Cette détestation de l’autre, cette indifférence, on la connait depuis la nuit des temps, elle exprime une forme de mépris pour celui qui ne lui ressemble pas, pour celui qui réfute les postures convenues du dogme libéral. J’espère que le mouvement perdure en dépit de ma situation enviable.
15 niveaux chez ABUS, la référence en matière d’antivol
Le gros uGrip Plus – 501 /160 HB 230 de ABUS. 1.8kg- niveau 10- 90 euros – Étrange ressemblance avec ressemblance avec le B’TWIN920 ci-dessus
L’expérience démontre que de plus en plus d’antivol sont rendus vulnérables du fait des outils mis en œuvre par les voleurs notamment avec les disqueuses portables.
Le marché de la chaîne étroite (10/11 vitesses) est juteux.
Qu’on en juge: une chaîne KMC X10.93 vendue 30 euros dans une grande surface spécialisée dont le nom commence par D et finit par N… coûte… 18.05€ chez Wiggle sur internet.
Avec son vélo Tilt, Décathlon continue de s’attaquer au concept du vélo pliant en facilitant le pliage sans risquer de se salir. Poursuivre la lecture de « Vélo de poche »→
Oui, je l’avoue, j’aime déambuler dans le rayon cycles de Décathlon.
Chez moi, Décathlon a carrément dessiné une bande cyclable bidirectionnelle dans ses allées avec des panneaux où les enfants peuvent s’exercer et…inciter les parents à acheter un vélo.
Dernier achat en date du groupe Mulliez, l’enseigne Saturn dont
les deux magasins neufs de Mulhouse.
Mulliez, c’est aussi Auchan, Leroy-Merlin, Boulanger, Kiabi,
Pimkie, Flunch, Atac, Norauto, Kiloutou, Cultura, Brice, Jules,
Grain de malice, Top Office, Picwic, Phildar.
Dans le domaine de l’électro-ménager, on ne voit pas bien
comment Mulliez va pouvoir conserver ses deux enseignes Boulanger
et Saturn lorsqu’elles sont à deux pas l’une de l’autre…
Les
salariés de Saturn et Boulanger craignent déjà pour leur
avenir…
En cette période d’inaction forcée du fait des intempéries, on
peut toujours préparer la nouvelle année, projeter des voyages,
étudier des parcours, lire des chroniques et même essayer des
produits innovants…comme cette lampe Géonaute à dynamo vendue par
Décathlon…
Une innovation qui n’en est pas une, puisque 100 ans auparavant,
la société Pygmy fabriquait déjà cette lampe miraculeuse.
Miraculeuse?
C’est vite dit.
Il faut quand même « pédaler » avec les mains pour actionner la
manivelle… et espérer obtenir en retour un maigre faisceau dont
l’autonomie annoncée relève de l’abus de confiance.
Songeons qu’avec sa lampe « TLD Quechua 100 dyn« ,
Décathlon promet 6 minutes d’éclairage plein pot avec seulement une
minute de manivelle, alors qu’en réalité on obtient seulement 3
minutes de lumière avant que la LED sombre dans un coma profond (lire les avis).
Oublions vite ce gadget vendu 7,90€ et garanti 2 ans!
Ceux qui l’ont acheté peuvent toujours le rapporter…
Affluence dans le grand magasin de sport de la région.
Peu de monde au rayon des vélos. Normal, en cette période de
l’année, ceux des sports de glisse sont les plus visités.
Le home-trainer ne rencontre pas beaucoup de succès; il est vrai
que pédaler dans son garage n’est pas une perspective
agréable…
Cependant c’est peut-être le moment de profiter des vélos à
assistance électrique (VAE); bradés avec un rabais de 50%, ils ne
devraient pas tarder à trouver preneurs.
499 euros au lieu de 999!
Un bradage qu’on a quand même du mal à s’expliquer…et qui
ternit l’image du produit.
Les vélos pliants ne manquent pas d’atouts face à la
concurrence.
Déclinés en trois coloris, avec les petites roulettes genre
caddie une fois pliés, ils devraient trouver leur public vu le prix
attractif. 300 euros.
Les structures de commercialisation de nos vélos évoluent et nos
comportements d’achat aussi.
On assiste actuellement à une mutation des achats en faveur des
Grandes Surfaces Spécialisées et aussi vers les distributeurs
franchisés.
Il suffit de se référer aux enseignes de sa ville pour les
connaître, nos distributeurs de vélos.
Pourtant, d’une ville à l’autre, on peut observer des
différences au niveau des marques de commercialisation.
1/ D’abord la distribution spécialisée. Composée de 2500
indépendants et, phénomène nouveau, de 870 enseignes spécialisées
avec des noms connus comme Culture Vélo (51), Véloland (20), Mondovélo(en
développement avec l’appui des 500 magasins Sport
2000), Holland Bikes, Distri-Cycle,…
Parmi les indépendants, certains adhèrent au réseau Bouticycles (60).
A noter également la marque de distributeurs Vélo et
Oxygène avec 700 points de vente.
2/ les GSA représentent 300 points de vente (Carrefour, Auchan, Cora, Casino) et ont capté
jusqu’à 65% du marché.
3/ la distribution multisports (Décathlon, Intersport, Go Sport,…) avec 470 magasins dont
210 Décathlon!
Quand nos petites têtes blondes découvrent le vélo, c’est
souvent pour eux une première expérience d’autonomie et
d’apprentissage d’un nouveau type de mobilité.
A ce titre, la firme Decathlon semble orfèvre pour promouvoir
les vélos de bambins.
Elle a même créé une petite vidéo trés sympa sur son site.
Ce sonsumérisme là, on a le droit d’en abuser. Il ne fait pas de
mal.