cliché vélomaxou
On y consent.
Malgré nous.
A parcourir ces routes infinies.
Rien que pour accomplir notre devoir cycliste.
Un métier de fou.
De quoi éprouver nos roueries de cyclistes éperdus.
Oui, c’est vrai.
A deux, c’est préférable.
Le temps est moins long.
En viendra t-on à bout?
De cette route infinie?
Où pas une âme, même pas une ombre, ne vient distraire notre
avancée vers l’improbable finitude de la route

