
Il faut se rendre à l’évidence: le trafic aérien ne pourra
reprendre sans une négociation de fond avec le volcan.
D’autant que la trajectoire du nuage de cendres semble la plus
erratique au possible. Plus incontrôlable encore qu’une cellule de
base de la CGT!
Reste à savoir qui, en Europe, est le plus armé pour approcher
le volcan et tenter une conciliation…
