
Je prends le train à Thann.
Plus exactement le tram-train.
C’est reposant car avec mon vélo de ville et en tenue « civile », je ne me voyais pas faire deux fois vingt bornes.
La nouveauté, cette année, c’est la banalisation de l’électrique.
Surtout pour les cargos.

Le cargo roule bien une fois lancé, mais les redémarrages sont difficiles, surtout chargés.
Pas de cyclotouristes.

Comme d’hab, la scission est totale.
Deux mondes qui s’ignorent.
Pourtant si, il y en avait des cyclos.

Au retour de notre tour de ville, un groupe venu d’Ardèche (en bus) avec des maillots L’ardéchoise s’égare parmi nous. Ils visitent la ville.
Soyez les bienvenus!
La dame me le dit tout de go: je n’aime pas ce genre de vélo.
Voila qui est dit.
Bon vent dans les Vosges!
Pas de service d’ordre municipal cette année.
Les interruptions de carrefours par les bénévoles ont donné lieu à quelques remarques d’impatience ainsi qu’à des démarrages nerveux, notamment de motards zélés.


Je rentre à Thann avec le tram-train.
J’ai vingt minutes d’attente, alors je pousse jusqu’à Dornach avec mon vélo























