
Aujourd’hui, c’était mon jour de courage.
A Uffholtz, j’ai pris la direction du Vieil Armand.
Tout penaud parce que c’est un exercice difficile pour moi.
J’ai l’œil rivé sur le cardio et je gère comme je peux.
Une fois aux ruines du Herrenfluh, j’ai gagné mon pari et je m’offre une belle image de la plaine.

Quand j’arrive au Vieil Armand, mon attention est attirée par les panneaux.
D’un coté, c’est la commune de Wattwiller, de l’autre c’est celle de Soultz.
Et puis je tente ensuite le Grand Ballon, la tête pleine de calculs.
Je suis un besogneux, je sais qu’il faut grimper encore 7km avec une pente variable de 7 à 8%.
On a coutume de dire qu’à l’auberge du Ballon, c’est gagné!
Voire!
Je trouve encore le temps long après.
C’est dans la dernière ligne droite que je suis rassuré.

Je « psychote » toujours autant vingt ans après.
J’avais quatre couches pour descendre.
Malgré tout je suis arrivé chez moi avec les doigts blancs, incapables d’ôter mes chaussures.
Je le confesse, je ne suis qu’un petit cyclo.

non , un grand cyclo pugnace ….et.. téméraire, quelquefois !!!
même en plaine on a commencé a avoir froid vers 16 h !!
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Merci louma110! Le vélo musculaire est exigeant et chacun fait selon ses moyens
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Maison de la Nature au Grand Ballon : c’est bien !
Mais dans le même temps je viens de découvrir que La Planche des Belles Filles est de nouveau saccagée : à cause du TdF on fait rallonger la route jusqu’au sommet ! Si ça c’est de l’écologie ?!
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