Réflexe conditionnel ou pas, si l’on part faire du sport avec l’idée qu’une bonne nouvelle nous attend au retour, alors on est plus motivé. Par exemple, un dessert à midi qui m’attend constitué de fraises au sucre.
Théorème invérifiable par moi-même. Mais j’en ai fait l’expérience et ça a marché puisque j’ai couru plus vite.
On pourrait tout aussi bien me lâcher un molosse aux fesses tout affamé et je courrais aussi plus vite.
Donc mon théorème marche aussi.
Dans le premier cas, je m’appuie sur un besoin physiologique et dans l’autre un besoin de sécurité.
A chacun sa stimulation. Je ne sais pas ce qu’en pensent les coachs ni quels besoins ils stimulent pour faire aller plus vite leurs poulains.
Je n’ai pas encore essayé la piquouse dans le derrière
Une chose est sûre, c’est que je me marre bien avec ma prose à dix sous.