
C’est le numéro 26 qui vient de paraître.
On commence par le toucher. Son velouté est sensuel, on a peur de l’abîmer.
Avant même de l’avoir lu, on sait qu’il va plaire. C’est surtout le parti-pris rédactionnel qui est sympa: des images et du texte travaillés avec des clins d’œil complices. Nous sommes entre gens de vélos. C’est convenu.
Un peu de challenge mais pas trop, un peu d’aventure mais pas trop. Tout est dosé. Ce n’est pas du vélo de fou. La pub est discrète.
Bon j’espère vous l’avoir bien vendu.
« Bon j’espère vous l’avoir bien vendu »
Oui, oui. Et ce n’est pas la première fois. Cette revue donne envie, c’est vrai.
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